Il serait également intéressant de lui demander s'il compte également réguler l'espèce humaine, qui est particulièrement invasive et prédatrice !
Sa réponse relève du pur spécisme, qui, comme le racisme, le sexisme, etc.. vise la domination de l'espèce humaine sur les non humains.
Pour justifier le besoin de régulation, il s'excuse derrière le fait que le renard n'a plus de prédateur naturel.
La faute à qui ? Et que fait il de l'urbanisation galopante qui expolient les animaux sauvages de leur habitat naturel et les obligent, pour survivre dans des espaces de plus en plus restreints et appauvris, à s'adapter toujours plus en exploitant leur instinct, au risque de le payer de leur vie ?
Ces propos de politique nous démontrent une fois de plus que les individus qui gouvernent le monde se font acheter par les multinationales qui financent leur campagne et qu'à ce titre, nous n'avons rien à attendre d'eux en terme d'éthique.
Ils n'en ont aucune. Seul le pouvoir compte à leurs yeux pervertis.
Triste constat que de noter que c'est partout pareil...