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Nouvelles

Les nouvelles actives sont postérieures au 03/10/2014
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   LRBPO   Ligue Royale Belge pour  la Protection des Oiseaux asbl

 

 

Rue de Veeweyde 43-45 · 1070 Bruxelles · Tél. 02/521.28.50 · 0496/261.375

                 E-mail: protection.oiseaux@birdprotection.be · Website :www.protectiondesoiseaux.be

 

 Communiqué de presse – vendredi 11 septembre 2009

 

MALTE définitivement condamnée pour la chasse printanière.

La pétition introduite par les protecteurs des oiseaux a enfin atteint son objectif !

 

 

Malta_Jachthut

Photo: Jan Rodts

 

Grande victoire pour les protecteurs des oiseaux! La Cour Européenne de Justice de Luxembourg a jugé, hier matin, que Malte, par sa chasse printanière aux Cailles des blés et aux Tourterelles des bois, violait la Directive Européenne ‘Oiseaux’. Ceci met un point final au procès que l’exécutif de l’Union européenne a entamé contre l’état maltais. 

 

Le gouvernement maltais a en effet toujours autorisé la chasse printanière aux Tourterelles des bois et aux Cailles des blés, et ce même après son adhésion à l’Union européenne. La Cour a dit comprendre l’argumentation selon laquelle ces oiseaux sont moins présents sur l’archipel en automne mais précise que le nombre d’oiseaux tués selon les rapports officiels maltais était disproportionné et que l’ouverture de la chasse au printemps était en infraction par rapport à législation européenne. 

 

La Cour demande au gouvernement maltais de respecter les dispositions européennes et d’assumer le coût de cette affaire judiciaire. Malte a accepté le jugement de la Cour et ce afin d’éviter de devoir payer une amende supplémentaire. Aucun appel n’est plus maintenant possible pour l’état méditerranéen.

 

La LRBPO est particulièrement satisfaite de cette décision finale, et ce d’autant plus que l’ouverture de la chasse printanière permettait le tir de nombreux autres oiseaux migrateurs appartenant à des espèces intégralement protégée.

 

La chasse printanière maltaise aux oiseaux migrateurs prenait place pendant leur migration depuis les zones d’hivernage africaines vers les sites de reproduction européens, avant donc qu’ils n’aient eu l’occasion de se reproduire. L’impact de cette chasse sur les populations d’oiseaux est donc plus important que si elle était effectuée en automne ou en hiver. A Malte, trois fois plus de Cailles (environ 15.000) et huit fois plus de Tourterelles des bois (environ 32.000) étaient tuées au printemps par rapport à l’automne. La Cour de Luxembourg a donc estimé que cette solution n’était pas satisfaisante et allait à l’encontre de l’esprit de la Directive européenne, notamment en ce qui concerne le maintien des espèces. 

 

Depuis que Malte a rejoint l’Union européenne, la LRBPO et sa consœur flamande, Vogelbescherming Vlaanderen, ont mené une campagne d’envergure contre la chasse printanière dans cet archipel méditerranéen. Le 11 octobre 2005, une pétition comprenant plus de 300.000 signatures fut remise par les deux associations (accompagnées de collègues allemands) à la Commission européenne. Grâce à cette pétition, le Parlement européen a pris, le 15 mars 2007, une résolution au sujet de la chasse printanière des oiseaux migrateurs à Malte. Cette résolution engageait l’état maltais à respecter la Directive européenne ‘Oiseaux’.

 

Après cinq ans d’une campagne internationale, il est temps pour Vogelbescherming Vlaanderen et la LRBPO de savourer cette belle victoire pour la conservation des oiseaux sauvages européens.

 

 

 

Hugues FANAL

Directeur 

 

 

Visitez notre site web www.protectiondesoiseaux.be

Source: LRBPO.

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Ourse Cannelle : le chasseur condamné à
11.000 euros d’amendes en appel
 

Le chasseur qui a tué en 2004 l’ourse Cannelle, la dernière ourse de source pyrénéenne, a été condamné jeudi en appel à payer près de 11.000 euros d’amendes à plusieurs associations écologistes, a-t-on appris de sources judiciaires.

René Marquèze avait été relaxé en première instance par le tribunal correctionnel de Pau, en avril 2008, pour "destruction d’espèce protégée".

Mais la cour d’appel de Pau a examiné en mai dernier les demandes de dommages et intérêts des parties civiles et condamné le chasseur à un total de quelque 11.000 euros à sept des huit parties civiles, selon son arrêt rendu jeudi en délibéré.

La défense de M. Marquèze, qui avait soutenu que "l’intéressé avait agi en état de nécessité", n’a "pas exclu un pourvoi en cassation".

"Il est difficile pour un profane de comprendre qu’on puisse être complètement innocenté sur le plan pénal et qu’on puisse, pour d’autres motifs, être déclaré responsable de la mort de l’ourse", a déclaré à l’AFP Me Jean-Pierre Casadebaig, avocat du chasseur.

Me François Ruffié, avocat de trois associations de protection de l’environnement, a affiché sa "grande satisfaction", lisant dans cette décision "un appel à la responsabilité individuelle" des chasseurs qui doivent "apprendre à s’autoréguler".

"Rien ne remplacera l’ourse qui a disparu", a-t-il dit à l’AFP, mais "le délit de destruction d’espèce protégée est constitué".

M. Marquèze n’écopera "d’aucune sanction mais il a commis un délit, pour nous, c’est essentiel", a-t-il dit.

"Il faut que les chasseurs évoluent dans leur comportement, collectivement mais surtout individuellement", a ajouté l’avocat, estimant l’arrêt de la cour d’appel "porteur d’avenir pour préserver la chasse elle-même mais aussi pour les autres espèces qui restent", comme le loup et le lynx.

La mort de l’animal, en novembre 2004, avait provoqué une vague d’indignation en France, incitant le gouvernement à mettre en place un plan de "renforcement de la population d’ours bruns" dans les Pyrénées avec l’introduction de plantigrades slovènes. Ce plan avait été vivement contesté par les éleveurs de l’Ariège et des Hautes-Pyrénées.

Photo : l’ourse Cannelle

Source: FERUS

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Communiqué de presse –Lundi 7 septembre 2009

Fuite de pétrole dans la Crau : une dépollution qui accentue le désastre écologique.

Le 7 août 2009, la rupture d’un pipeline géré par SPSE dont les actionnaires majoritaires sont Total et Exxon, a entraîné le déversement de 4 000 m3 de pétrole dans la réserve naturelle nationale de la Crau. Si la priorité est d’enlever le pétrole avant les pluies pour éviter la propagation de la pollution, les associations s’inquiètent des conséquences des travaux de dépollution et redoutent que la priorité pour SPSE soit juste de remettre le pipeline en état de marche au plus vite !

Des travaux titanesques qui élargissent la zone impactée

Les travaux de dépollution consistent à retirer une couche de 40cm sur les 5 ha touchés, à l’aide de tracto-pelles entraînant une rotation d’environ 1 600 camions.

Les associations constatent que la SPSE ne respecte pas le protocole de dépollution tel que défini avec les services de l’Etat, en dépit de l’avis et de la désapprobation des gardes de la réserve naturelle.

En effet, actuellement la circulation se fait de manière désordonnée : les engins roulent et écrasent végétaux et animaux sur plus de 13 ha de milieu naturel protégé. Aucune voie d’accès n’a été définie en accord avec la Réserve Naturelle.

De plus, des sondages ont été réalisés par la SPSE dans la réserve et sur le site Natura 2000, sans aucune évaluation d’incidences préalable. D’ailleurs, l’un des sondages a fait l’objet d’un procès-verbal.

Enfin, la SPSE poursuit la vérification de l’état du pipeline. Des corsets métalliques ont déjà été posés pour le renforcer, ce qui redouble notre inquiétude quant à l’état de dégradation du pipeline…

Un manque de transparence dans la communication

La société ne donne pas toutes les informations nécessaires au bon déroulement de l’opération, nuisant ainsi à une bonne coordination des travaux de dépollution. Les journalistes se sont vus refuser l’accès au site par la SPSE. Donc, l’essentiel des informations en circulation n’ont qu’une seule et unique source : le service communication de la société !

Dorénavant, la mise sous séquestre de la zone polluée pour cause de procédure judiciaire en cours constitue un obstacle supplémentaire à la surveillance par le gestionnaire de la réserve.

 

De fortes attentes des associations

L'URVN et ses associations membres, avec l'appui de FNE, soucieuses de protéger la Crau et du respect du statut de réserve naturelle nationale demandent :
une réunion en urgence, ouverte à tous les acteurs concernés, dont les scientifiques régionaux et nationaux, pour établir un cahier des charges sous tutelle de l’Etat définissant les modalités de dépollution, de restauration et de compensation, mais aussi de circulation des engins,

- la mise en œuvre d'un suivi du chantier de dépollution, avec des points d’étapes réguliers et avec la possibilité de tout stopper en cas de problème,

- l'instauration d’une réflexion scientifique sur l’impact de la pollution sur la nappe phréatique et sur la zone de coussouls touchées,

- et surtout une analyse sur l'état et les risques des canalisations et installations industrielles, actuelles et futures qui traversent la Crau avec, dans un cadre plus général et une démarche proactive, la création d’un comité de suivi des procédures de surveillance, auquel participeraient les APNE, pour l’ensemble des pipelines de la région.


Pour Pierre APPLINCOURT, président de l'URVN : "La Crau dans son ensemble, et pas que la réserve, est un milieu exceptionnel. Malheureusement, elle est soumise à une pression économique forte. D’autres projets de gazoducs sont prévus. Nous craignons pour l’avenir de ces milieux naturels uniques en France où subsistent des espèces endémiques. Il faut absolument que les acteurs économiques tiennent compte de cette donnée. La protection de la nature ce n’est pas que dans les publicités !".

Source: France Nature Environnement.

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Communiqué de presse

Le 07/09/2009


Lettre ouverte au Ministre de l’Écologie  :
 
Une trêve de la chasse le dimanche
 pour la sécurité et un partage équitable de la nature

 
À quelques jours de l’ouverture de la saison de chasse 2009/2010, l’Association pour la Protection des Animaux Sauvages (ASPAS) attire l’attention de M. Borloo sur les problèmes d’insécurité liés à la chasse. Dans une lettre ouverte adressée au Ministre de l’Écologie, l’ASPAS demande un rendez-vous, afin de remettre les 200 000 signatures de sa pétition pour l’arrêt de la chasse le dimanche.

Les accidents de chasse restent un sujet tabou pour notre gouvernement. Pourtant aucune autre activité de loisir que la chasse ne pose un tel problème de sécurité publique.
 
La majorité des français ne se sentent pas en sécurité dans la nature en période de chasse et seraient favorables à l’interdiction de la chasse le dimanche. (Sondage IFOP/ASPAS réalisé par téléphone auprès d’un échantillon de 955 personnes en juillet 2009)
 
Chaque année en France, la chasse provoque des dizaines d’accidents dont un nombre bien trop élevé s’avère être mortel. Ce n’est pas seulement une activité dangereuse pour ses pratiquants, elle l’est également pour tous les autres usagers de la nature : promeneurs, vététistes, cavaliers, cueilleurs de champignons, naturalistes, kayakistes ...
 
Afin de réduire le nombre de ces accidents tragiques, l’ASPAS demande, pour la sécurité des non chasseurs, que la loi soit modifiée et que soit enfin instauré le dimanche sans chasse au niveau national. Le dimanche est le jour où le plus d’usagers de la nature fréquentent les milieux naturels et ruraux, mais c’est également le jour de la semaine pour lequel on recense le plus grand  nombre d’accidents de chasse. La France est le seul pays européen où l’on chasse 7 jours sur 7 et de surcroît sur la période la plus longue !
 
La pétition de l’ASPAS pour l’arrêt de  la chasse le dimanche a aujourd’hui recueilli 200 000 signatures. Les demandes parfois abusives des chasseurs reçoivent très souvent un accueil favorable alors que nos appels restent sans suite. Le reclassement de la martre et de la belette sur la liste des espèces dites «nuisibles» par M. Borloo, seulement  trois mois après leur déclassement,  en est un exemple flagrant. Pourquoi ce manque de partialité du ministère dit de l’Écologie ? Si les chasseurs des autres pays arrivent à restreindre leur activité à quelques jours par semaine, il doit pouvoir en être de même pour les chasseurs français.
 
Contact presse : Pierre ATHANAZE, 
Président de l’ASPAS, Tél : 06 08 18 54 55

 
NB : L’ASPAS envoie gratuitement le dossier de presse de sa campagne pour l’arrêt de la chasse le dimanche et le dépliant « Stop à l’insécurité liée à la chasse» à tous les journalistes en faisant la demande par mail : info@aspas-nature.org ou par téléphone : 04 75 25 10 00


Source: ASPAS.

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2 ours tués en Ariège ? Les associations exigent une enquête

 
Communiqué Pays de l’ours - ADET / FERUS Le 4 septembre 2009 Ours : les associations exigent l’ouverture d’une enquête.
Les opposants à l’ours dans les Pyrénées affirment avoir abattu deux ours en Haute-Ariège au printemps 2009.
Bien qu’habituées aux excès et aux mensonges de l’ASPAP et de son porte parole, nous considérons que ces propos sont graves
et nous exigeons l’ouverture d’une enquête afin de faire la lumière sur cette affaire. S’il ne réagissait clairement et fermement,
le Gouvernement donnerait donnerait raison à des braconniers cherchant à imposer leur point de vue par la violence et les armes,
faute d’avoir obtenu gain de cause par les voies démocratiques et légales.

 
A SUIVRE.

 
Source: FERUS.

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Nouveau type de décision prenne effet le 1 Septembre  2009
Lundi 31Août  2009

L'arrêté du Gouvernement flamand du 15 Mai 2009 sur la protection des espèces et la gestion des espèces - le soi-disant type de décision, le 13 août dans la Gazette officielle a été publiée - prendra effet à partir de demain 1er Septembre. Il s'agit d'une loi globale qui est devenue la protection des mammifères, oiseaux, reptiles, d'amphibiens, d'invertébrés, les plantes, les lichens et les contrôles des champignons. Il prévoit la traduction partielle des directives Oiseaux et Habitats. Avec l'entrée en vigueur de la présente loi sont peu nombreux, la réglementation en vigueur définitivement levées, y compris l'arrêté royal du 9 Septembre 1981 sur la protection des oiseaux dans la région flamande, qui a duré 28 ans. Flandre Vogelbescherming était actif dans la création de l'acte en question, mais n'est pas aussi enthousiastes à la ligne entière. En raison du fait que la Commission européenne, le gouvernement flamand à la Cour européenne de Justice avait intentée pour violation de la libre circulation des marchandises, les négociants en bétail sont également protégés à partir de demain, des espèces d'oiseaux européens mai offrir à la vente, à condition que les oiseaux nés en captivité et cultivés, et non de la nature.

 

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Source: Vogelbescherming.
 
 

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 Communiqués de Presse

Dimanche 30 août 2009

La LPO dénonce le braconnage du Bruant ortolan


Dans les Landes, Allain BOUGRAIN DUBOURG, président de la LPO, les membres de la LPO Aquitaine et de la SEPANSO Landes ont visité ce dimanche matin 30 août de nombreuses installations illégales de capture de Bruant ortolan, espèce protégée. Ils ont procédé à la libération de plusieurs dizaines d‘oiseaux prisonniers des « matoles » et ont neutralisé plus de 200 pièges.

Il faut savoir que le Bruant ortolan est une espèce nicheuse en déclin dans tous les pays d’Europe (Belgique, Pays-Bas, France, Italie, Allemagne, Autriche…) sauf en Pologne, Bulgarie et pays baltes.

Les prélèvements effectués en France par cages pièges, appelées localement matoles, et pratiqués dans les Landes de la mi-août à fin septembre, sont de 30.000 voire 50.000 oiseaux selon les années, soit l’équivalent des populations nicheuses du Benelux, de l’Allemagne, du Danemark, de la Tchéquie, de l’Autriche et de la Slovaquie réunies, d’où sa protection officielle par arrêté ministériel du 5 mars 1999.

Voilà maintenant 4 ans que la LPO s’investie sur le terrain pour dénoncer la situation de tolérance établie entre l’administration et les braconniers sans résultat concret. Malgré les promesses faites par le Ministère de l’Ecologie pour mettre un terme à cette situation, seuls huit procès verbaux ont été dressés l’année dernière alors que le nombre de braconniers est évalué à plus de 1200. Aujourd’hui, les équipes de la LPO constatent que la situation reste inchangée.

A la veille de l’année mondiale pour la biodiversité, la LPO demande que l’Etat assure fermement son rôle de lutte anti braconnage, en espérant que le dossier ortolan ne traînera pas en longueur comme celui des tourterelles du Médoc (l’Etat a fermé les yeux sur ce braconnage pendant plus de 20 ans…) 

Allain Bougrain Dubourg
Président de la LPO

Source: LPO.

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Invitation: Plateforme de la Forêt de Soignes - le 31/08/2009 10:49 par Staff
 

La plateforme de la Forêt de Soignes 
en collaboration avec "de Vereniging voor Bos in Vlaanderen"
vous invite à un après-midi de rencontre
le dimanche 4 octobre 2009 de 14h à 17h au "Bosmuseum" (Hoeilaart)

Thème : La Mort fait la Vie
 

Le bois mort fait partie de manière indiscutée de la chaine alimentaire. Il en va de même pour les animaux morts qui présentent une grande importance pour les animaux et les plantes de la forêt. Même si leur aspect n'est pas toujours très ragoutant...

En forêt de Soignes, court pour l'instant le projet "La mort fait la Vie". Les animaux qui sont mort à la suite d'une collision avec les voitures sont déposés dans un endroit où des caméras spéciales photographient tous les animaux qui viennent se régaler sur la carcasse. Ceci afin d'étudier la décomposition des animaux de la forêt.

Dirk Raes, garde forestier de l'Agence pour la Nature et la forêt (gestionnaire forestier de la Région flamande), sera notre guide pour cette excursion où mort et vie s'entremêlent.

Notre promenade débutera à 14h à l’entrée du "Bosmuseum" et se terminera par un verre de l'amitié vers 17h.

Au plaisir de vous revoir le 4 octobre à 14 heures...
Merci de faciliter l'organisation en signalant votre présence par mail (barbara@soignes-zonien.net) ou par téléphone au 0479/78.24.54



 

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Protection de la Nature en Roumanie - le 30/08/2009 10:42 par Staff

Protection de la nature en Roumanie

Pourquoi ?

Stopper la perte de la biodiversité en 2010 : tel était le pari de l’Union Européenne. Mais alors que la fin du compte à rebours approche,
il est évident que les efforts des pays membres ne seront pas suffisants pour relever ce défi.

Acheter du terrain pour le protéger

Protéger la faune sauvage et la flore passe désormais par l’achat de parcelles. Grâce à vos dons [1], AVES France s’engage à acheter des terrains agricoles et des prairies en Roumanie, pays qui offre encore une biodiversité rare en Europe (ours, loups, lynx, chats sauvages, cerf des Carpates, renards, sangliers, biches, chevreuils, blaireaux, martres des pins, etc., mais aussi de nombreuses espèces d’oiseaux, de papillons, de butineurs...).

 

Acheter des terrains pour participer à la protection de la nature en Europe, c’est la nouvelle campagne
de l’association AVES France : 1.000 euros : 1 ha protégé !

Source: Aves France.



notes:[1] vos dons ouvrent droit à une réduction d’impôt de 66%.  .

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20 tortues "grecques" saisies à Bordeaux - le 24/08/2009 20:22 par Staff
 20 tortues "grecques" saisies à Bordeaux


 
Les douaniers de Bordeaux ont eu le nez fin ! Le 18 août dernier, ils ont en effet saisi 20 tortues "grecques" vivantes dans une fourgonnette en provenance du Maroc.

Vont-elles retrouver leur milieu naturel ?

Les 20 tortues du type "Testudo graeca graeca" ont été confiées à un vétérinaire girondin "dans l'attente de leur réintroduction en milieu naturel ou dans une réserve animale" a-t-on précisé de même source. "Pour une raison inconnue, ces tortues étaient entièrement couvertes d'hydrocarbures", selon les douanes.

Source: Spendeur Sauvage.

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