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Nouvelles

Les nouvelles actives sont postérieures au 03/10/2014
Les nouvelles antérieures sont consultables dans les  Archives des nouvelles
Photo de la Bécasse des bois
par Proact.

Des bécasses des bois sont vendues à Bruxelles, malgré la Loi !



En 1996, nous avions déposé plainte auprès de l'IBGE concernant la vente de mousse de bécasses dans la Région Bruxelles/Capitale.
En effet, plusieurs restaurants et une grande surface vendaient de la mousse de bécasses.

Cependant, l'ordonnance du 29 août 1991 interdisait la commercialisation de la bécasse d'origine Sauvage dans la Région Bruxelles Capitale.

Nous venons de découvrir une boucherie qui vend de la bécasse des bois.

Nous avons décidé de déposer plainte auprès de l'IBGE (Bruxelles Environnement) afin que des mesures soient prises à l'encontre de ce commerçant.
Nous espérons connaître l'origine de ces oiseaux.

Nous vous donnerons des renseignements concernant ce dossier sur notre forum.

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Notre Action pour la Chouette Athéna à Anderlecht.

Auteur de la photo : Emile Vleugels



Dans le cadre de la Nuit de la chouette organisée par la Fédération des Parcs Régionaux de France et la Ligue pour la Protection des Oiseaux (France), nous avons demandé l'autorisation à Monsieur Gaëtan Van Goidsenhoven,Bourgmestre d'Anderlecht,
pour le placement d'un nichoir pour accueillir un couple de chouette athéna dans le
Vallon du Kooeivijver à Neerpede.

Cellui-ci sera placé par l'association "Noctua", spécialiste de cette espèce.
Nous espérons obtenir l'autorisation de la Commune pour mieux protéger ce petit oiseau afin que les futures générations puissent encore l'observer.

Nous vous tiendrons au courant de l'évolution de ce dossier sur notre forum.



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Utilisation ubuesque du budget de l' Écologie:
Borloo débourse 190 000 € pour...

treize huttes de chasse !

 

Le ministre dit de l' Écologie cumule les cadeaux (1) à ses amis les chasseurs.
Le dernier en date, ce généreux don d’argent public pour des intérêts privés.
L’Association pour
la Protection des Animaux Sauvages dénonce ces mesures bling-bling, anti-démocratiques,
anti-sociales et anti-écologiques.


Ces huttes remplaceraient les installations hors-la-loi situées à l’intérieur même de la Réserve
naturelle du Platier d’Oye (sur la commune d’Oye Plage, Pas-de-Calais) créée en 1987.
Cette zone de protection était devenue un lieu d’affrontement jusqu'à ces dernières années entre les
chasseurs, qui continuaient à y tirer illégalement les oiseaux d’eau,
et les défenseurs de la nature qui entendaient que cette Réserve naturelle soit un havre de tranquillité pour la faune sauvage.

Après deux décennies d’illégalité,
les chasseurs viennent de décrocher le jackpot !

Ces 190 000 € ne sont qu’une partie de ce que réclament les chasseurs de gibier d’eau. Ces
derniers en espèrent encore 200 000 du Conseil général du Pas-de-Calais et autant du Conseil régional Nord-Pas-de-Calais.
Soit la modique somme de 600 000 € pour treize huttes !
Qui a dit que la chasse aux oiseaux d’eau était une pratique populaire ?
Cette chasse est autorisée sur le Domaine public maritime, de début août au 10 février,
de jour comme de nuit ! Il ne manquait plus qu’elle soit soutenue par de l’argent public

On notera la pertinence de ce don en pleine crise économique, pour des intérêts particuliers,
avec l’argent de contribuables en difficulté.
De plus, faut-il le rappeler, la hutte et le fusil de chasse ne sont en rien des instruments de protection des oiseaux et de la biodiversité.
Une fois encore,
l’ASPAS constate des actions gouvernementales totalement opposées aux belles promesses du Grenelle de l’Environnement.
Ou plutôt du « Grosnul de l’Environnement » ?



1) Cadeaux législatifs: la loi Poniatowski qui dispense les chasseurs de règles de sécurité nationale, octroie une réduction de 50%
de la taxe cynégétique pour les nouveaux chasseurs ou qui autorise les Associations communales de chasse à vendre des journées de chasse.

Cadeaux réglementaires: allongement de la période de chasse aux oiseaux migrateurs, création d’une amende pour entrave à la chasse.

Et les petits cadeaux qui préparent les grands: nomination
du député/président de fédération de chasse Pierre Lang à une mission sur le statut des espèces, dont les fameux « nuisibles ».
On attend du haut niveau scientifique…

Contact presse: Pierre ATHANAZE,
Président de l’ASPAS
Tél : 06 08 18 54 55

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Bonjour à toutes et à tous,

  • La 1ère manche est gagnée

  • Le projet de pôle mécanique est définitivement enterré sur l'ancien champ de manœuvres de 33.95 hectares sur la commune de CUIS.

    Voir article sur l'Union:



  • La deuxième manche va donc s'engage: MAINTENIR UN ESPACE NATUREL sur ce savart champenois .


  • Bien environnementalement votre.



    Source: Collectif 33 hectares à sauvegarder.

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    Photo de l'Ours
    Association Pays de l'Ours.


    09-03-2009
    »Le Conseil d'Etat déboute les opposants à l'ours et rappelle la loi

    Le programme de restauration de la population d'ours est légal, démocratique et raisonnable.

    Voilà ce que vient de rappeler le Conseil d'Etat, saisi par les opposants à l'ours dans les Pyrénées.


    Website: http://www.paysdelours.com/le-conseil-detat-deboute-les-opposants-a-lours-et-rappelle-la-loi.html?cmp_id=50&news_id=570&vID=249#570



    Source: Pays de l'Ours.

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    Communiqué de presse - Mardi 10 mars 2009

    Martre et belette: un reclassement en «nuisibles»... plus que nuisible !



    Le Conseil National de la Chasse et de la Faune Sauvage (CNCFS) examinera demain mercredi 11 mars un projet d'arrêté ministériel qui classerait à nouveau la martre et la belette sur la liste nationale des espèces dites « nuisibles ». France Nature Environnement s'oppose à cette mesure qui ne repose sur aucune justification biologique et demande au ministre d'attendre les conclusions de l'étude commandée au Muséum National d'Histoire Naturelle sur ces deux espèces.

    La martre et la belette sont deux mustélidés dont le régime alimentaire est essentiellement constitué de rongeurs, ce qui en fait d'excellents auxiliaires de l'agriculture.
    Ces deux espèces ne posent aucun problème vis-à-vis de la santé et de la sécurité publique, et aucun dommage important, ni aux activités agricoles ou forestières, ni à la faune et la flore, ne peuvent leur être imputées.

    Sous la pression des chasseurs

    Pour ces raisons, elles ont été retirées de la liste des espèces « nuisibles » en décembre 2008.
    Or, cédant aux revendications des piégeurs et des chasseurs, le Ministre de l'écologie Jean-Louis Borloo s'apprête à revenir sur cette décision, alors même qu'il a commandé au Muséum une étude scientifique sur la martre et la belette, qui doit être rendue le 15 mai.
    Le même scénario s'est déjà déroulé en 2002 pour la martre, la belette et le putois, et les arguments en faveur du déclassement de ces trois espèces étaient déjà sans ambiguïté.

    Pour Dominique Py, responsable de la thématique Faune Sauvage à FNE: «il s'agit d'un geste politique en faveur du monde cynégétique, ignorant les avis scientifiques.
    Nous demandons au Ministre de retirer ce projet d'arrêté dans l'attente des conclusions de l'étude conduite par le Muséum.»

    Le putois : un autre mustélidé menacé

    FNE alerte également sur le cas du putois, un mustélidé inféodé aux zones humides, dont l'habitat est en constante régression et qui mériterait d'être classé comme espèce protégée en raison de son état de conservation préoccupant.

    Source: France Nature Environnement.

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    Communiqué de presse Le 09 mars 2009

    L'ASPAS lance une nouvelle campagne:
    «Protégeons nos amphibiens»



    Comment éviter qu’une mare à grenouilles soit asséchée, à des crapauds de se faire écraser ? Qui alerter ?
    L’Association pour la Protection des Animaux sauvages (ASPAS) et Hyla63 éditent une plaquette de conseils pratiques et lancent une nouvelle campagne: «Protégeons nos amphibiens».
    Menée à l’échelle nationale, cette action entend apporter des solutions à la régression de ces animaux.


    Les amphibiens sont des insectivores utiles et ils sont protégés par la loi.
    Pourtant, une espèce sur cinq risque de disparaître de France métropolitaine selon la dernière liste rouge des espèces menacées.
    Sans une prise de conscience de nos concitoyens et des pouvoirs publics, ces chiffres pourraient doubler dans les années à venir.
    Les facteurs de déclin des amphibiens sont divers : pollutions des eaux, des sols, de l’atmosphère, destruction de leurs habitats, mortalité sur les routes…

    Pour faire face à ces différentes sources de problèmes, l’ASPAS vient d’éditer une plaquette de sensibilisation intitulée «Comment protéger nos amphibiens, guide pratique pour agir efficacement» en partenariat avec Hyla63, association de protection des amphibiens dans le Puy de Dôme.
    Ce petit guide explique les causes du déclin et les menaces qui pèsent sur les amphibiens, le statut et la réglementation liée à ces espèces mais il offre surtout des solutions concrètes pour les aider et les sauver (barrière piège, creusement de mare, qui alerter lorsqu’ils sont victimes de la circulation ...).
    Le «crapauplanning» représente également une menace pour la sécurité des automobilistes.

    L’ASPAS met à la disposition de toute personne intéressée ce document gratuit, décrivant les démarches à adopter pour participer à cette campagne.
    Il contient 2 cartes détachables : une destinée au Président de votre Conseil Général pour l’inviter à pallier les problèmes rencontrés pour les amphibiens dans votre département, et une autre à envoyer à l’ASPAS ou à une association partenaire pour évaluer l’impact de la campagne, car cette action est collective.

    Pour obtenir ce document il suffit de contacter l’ASPAS par courrier (ASPAS- BP 505 – 26401 CREST Cedex), par téléphone (04 75 25 10 00) ou par mail (info@aspas-nature.org)

    Laurent Baffie, fervent défenseur des amphibiens, a accepté d’être le parrain de cette campagne.

    Garant par leur présence de la santé de nos écosystèmes naturels et de la biodiversité, il est temps de mieux connaître les amphibiens afin de les protéger !

    Ensemble, protégeons nos amphibiens !



    Contact presse : Rémi Collange
    Chargé de communication de l’ASPAS

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    Non à la journée départementale de
    déterrage en Haute-Marne du 27 juin 2009




    Photo des Blaireaux
    par Thomas Ackremann.

    L’association Connaissance & Protection de la Nature du Brabant, qui s’est déjà opposée aux championnats de déterrage de Cluny et de Saint Bonnet Tronçais, s’insurge contre cette nouvelle journée départementale de déterrage en Haute-Marne, prévue le 27 juin prochain.
    Nous vous invitons à signer la pétition contre cette pratique inutile et barbare.

    En 2006 et en 2008, notre association s’était opposée aux championnats de déterrage de Cluny et de Saint Bonnet Tronçais.

    En 2009, c’est en Haute-Marne qu’une journée départementale de déterrage est prévue, le 27 juin.

    Le déterrage est une pratique de chasse ignoble et traumatisante pour les blaireaux et les espèces voisines, que les animaux soient tués ou non.
    La destruction des terriers pour l’entraînement des chiens et le loisir n’est pas acceptable.

    Notre association a signé la pétition initiée par la LPO Champagne-Ardenne et l’association Nature Haute-Marne. Nous demandons au Préfet d’interdire cette journée de déterrage.

    Signez massivement cette pétition
    . Nous prendrons contact avec les associations locales pour savoir si une action sur le terrain est envisagée, en cas de maintien de cette journée.

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    Source: LPO Champagne-Ardenne, Association Nature Haute-Marne, Aves France.

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    Source: LPO Champagne-Ardenne, Association Nature Haute-Marne, Aves France.

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    et son association membre



    Communiqué de presse – vendredi 6 mars
    Thonailles: l’Etat français pris dans ses propres filets

    Jeudi 5 mars 2009, la Cour de Justice des Communautés européennes (CJCE) a condamné la France pour ne pas avoir respecté la législation européenne interdisant l’utilisation de la «thonaille».
    France Nature Environnement et le Groupe de recherche sur les cétacés (GREC) se félicitent de cette décision.



    Interdits depuis 2002

    Pour réduire les prises accidentelles, l’Union européenne a décidé d’interdire par un règlement du 8 juin 1998 (1) les filets maillants dérivants répondant à certains critères à partir de 2002.

    Des conséquences importantes sur la vie marine

    La « thonaille » ou «courantille volante» est utilisée en Méditerranée pour capturer au large le thon rouge. Malheureusement, cette technique de pêche occasionne de nombreuses prises « accessoires », dont celles d’espèces protégées. Parmi elles, le Dauphin bleu et blanc (Stenella coeruleolba) qui agonise presque systématiquement une fois pris entre les mailles du filet.

    On évalue à plus de 300 le nombre d’individus qui périssent ainsi chaque année, dont une majorité de nouveau-nés.

    Un non-respect répété de la légalité

    Malgré la prise de conscience européenne de la nocivité des thonailles, l’Etat français avait cédé sous la pression des professionnels. En 2003, elle avait autorisé l’utilisation des filets contestés en Méditerranée, en essayant de nier le fait que la thonaille était un filet maillant dérivant.

    A la demande de France Nature Environnement et du Groupe de recherche sur les cétacés (GREC), la justice française avait déjà constaté le non-respect de cette interdiction. Par un arrêt en date du 10 aout 2005 (2), le Conseil d’état a annulé l’autorisation donnée par la France aux pêcheurs méditerranéens.

    Malgré cette annulation, l’Etat français et les organismes professionnels ont poursuivi sur une voie néfaste, refusant l’évidence. C’est ainsi que les pêcheurs ont utilisé cette technique de pêche sans contrôles ni sanctions (3), sans oublier la capture illicite de plusieurs centaines de tonnes de thons.

    Une décision claire et sans appel qui condamne la France

    La CJCE met donc un terme à ce débat en sanctionnant la France pour son refus de contrôler et sanctionner concrètement l’exercice de cette pêche. Elle clôture les discussions sur la qualification de ce filet comme « filet maillant dérivant au sens de la définition couramment admise», et sur l’utilité de son interdiction.

    FNE et le GREC se félicitent de la décision de la CJCE qui demande expressément à la France de se mettre en conformité et donc de protéger les espèces protégées menacées.

    La nécessité d’un signal politique fort
    Nos associations resteront vigilantes sur le respect effectif de cette décision par l’Etat français, récalcitrant depuis si longtemps sur ce dossier…

    A la veille du Grenelle de la Mer, France Nature Environnement attend de tous les acteurs, à commencer par l’Etat, une attitude plus respectueuse de l’environnement et soucieuse d’enjeux majeurs comme la gestion durable de la pêche.

    1. Règlement CE n° 1239/98 du 8 juin 1998 modifiant le règlement CE n° 894/97 prévoyant certaines mesures de conservation des ressources de pêche.
    2. CE, 10 aout 2005, n°265034.
    3. Arrêt de la CJCE, 5 mars 2009, Affaire n° C 556/07 « Il résulte de l’ensemble de ces considérations que, en s’abstenant de contrôler, d’inspecter et de surveiller de façon satisfaisante l’exercice de la pêche au regard de l’interdiction des filets maillants dérivants pour la capture de certaines espèces et en ne veillant pas à ce que soient prises des mesures appropriées contre les responsables d’infractions à la réglementation communautaire en matière d’utilisation des filets maillants dérivants, la République française a manqué aux obligations qui lui incombent en vertu des articles 2 et 31, paragraphes 1 et 2, du règlement n° 2847/93 modifié ainsi que des articles 23, paragraphes 1 et 2, 24 et 25, paragraphes 1 et 2, du règlement n° 2371/2002 ».

    Source: France Nature Environnement.

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    Les loups en Haute - Savoie - le 06/03/2009 11:58 par Staff
    Dessin d'Angèle

    Les Loups en Haute - Savoie

    Lundi 2 mars 2009, Michel Bilaud le préfet de Haute-Savoie était au Petit-Bornand en compagnie de Martial Saddier, le député-maire de Bonneville pour une rencontre avec les agriculteurs et les chasseurs.
    Nous nous demandons pourquoi les associations de protection de la nature n'étaient pas présente lors de cette réunion.

    La montagne appartient à la faune sauvage.
    Et non aux agriculteurs, encore moins aux chasseurs.

    Monsieur le Préfet a annoncé une réunion départementale du comité loup aura lieu le 10 mars prochain.
    Au programme: l'élargissement éventuel des autorisations de tirs de prélèvement dans ce département.


    Nous lançons un appel aux amis des loups, aux associations de protection de la nature afin qu'ils organisent une action contre ce projet.
    Nous vous remercions d'avance.

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