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Une bonne alimentation hivernale
Oiseaux dans la saison froide
Verdier d'alimentation boulettes visitesCommence avec l'hiver pour nos oiseaux locaux qui n'ont pas commencé le voyage dangereux pour l'Europe du Sud et en Afrique, ont souvent un moment difficile. Riche buissons de baies, de chardons et de friche jonchée vergers chablis vieilles sont souvent disparu de notre paysage. Les sources naturelles de nourriture sèche prématurément. Les oiseaux dans nos villes et villages à la recherche pour le nettoyage des jardins ratissé, des rues pavées et ses places, souvent en vain pour la nourriture.
Alimentation, est conçu par l'homme, en particulier avec la glace et la couverture neigeuse prolongée pour Dar nombreux oiseaux. Souvent la seule source de nourriture, mais pas seulement cet aspect de bien-être animal en faveur d'une alimentation hivernale modérée et appropriée.Les enfants et les adultes sont introduits très tôt par le quotidien "Maison de l'Oiseau" l'expérience, l'observation des différentes espèces d'oiseaux à courte portée et de leurs comportements individuels à la nature - en particulier dans la ville, un traitement contraire rares. Sur ces pages vous trouverez des idées et des conseils pour l'alimentation humaine et d'hiver, qui va répondre aux besoins des oiseaux.
Que devez-vous faire quand vous devez les nourrir , ce régime est le meilleur, où la place d'alimentation convenable et comment votre jardin peut être conçu de sorte que les oiseaux peuvent trouver de la nourriture là-bas, naturellement, peuvent être trouvées sur ces pages. Une collection de beaux et simples recettes de cuisine d'hiver pour faire votre propre ici.
Une brochure détaillée sur l'hiver nous nourrir, vous pouvez aussi commander en ligne.
Source: Komitee.
Le 02 février 2012
Lettre ouverte à M. le Préfet du Pas-de-Calais:
Prolifération des rongeurs et dégâts aux cultures:
l’ASPAS à la solution
Monsieur le Préfet,
Le 25 janvier, des agriculteurs sont venus manifester devant la préfecture d’Arras pour dénoncer la prolifération d’espèces causant des dégâts aux cultures, notamment les rats musqués et les lapins de garenne.
Leurs revendications, largement reprises par les médias, doivent être entendues à la lumière des éléments suivants.
Certains agriculteurs demandent le retour à l’utilisation de produits chimiques comme la bromadiolone, pour empoisonner légalement les espèces qui posent des problèmes à l’agriculture.
L’inefficacité et les dangers de cette méthode sont reconnus.
Cet anticoagulant puissant provoque l’intoxication directe (ingestion des appâts) ou indirecte (ingestion des cadavres) de nombreuses espèces, entraînant des répercussions en cascade sur une faune déjà fragilisée par les activités humaines.
En novembre 2011, 14 cadavres de milans royaux et 8 cadavres de buses variables ont ainsi été retrouvés dans le Puy-de-Dôme, sur des parcelles traitées avec ce produit chimique.
Face à cette hécatombe, le préfet du Puy-de-Dôme a interdit, le 8 décembre dernier, l’utilisation de la bromadiolone sur les 22 communes du département abritant des dortoirs de milans royaux, rapaces protégés rares.
Le préfet a également décidé de déclasser temporairement le renard et les mustélidés de la liste des nuisibles.
Ces prédateurs naturels jouent en effet un rôle incontestable de régulation des rongeurs et micromammifères.
La gestion de ces espèces dans le Pas-de-Calais est catastrophique: renard, martre, putois et belette sont classés «nuisibles» et massivement détruits,
alors qu’ils constituent les prédateurs naturels des rongeurs.
Ce constat a d’ailleurs motivé notre association à déposer un recours contre ce classement incohérent auprès du Tribunal administratif de Lille.
À titre d’illustration, un renard consomme 3 à 4000 rongeurs par an, 5000 renards sont détruits chaque année dans le département.
Le calcul est éloquent: ce sont des millions de rongeurs qui échappent chaque année à une prédation naturelle!
Par ailleurs, le lapin est un gibier très prisé par les chasseurs qui entretiennent ses populations pour favoriser la poursuite de leur loisir.
Des associations spécialisées dans la défense de ce petit gibier oeuvrent ainsi dans le Pas-de-Calais avec comme objectif «de développer le lapin sur l’ensemble du département, petit gibier de base par excellence»
(cf. site de l’ADCPG 62 et ANCLATRA).
Les agriculteurs se trompent probablement de responsables
Notre association vous demande instamment de refuser la lutte chimique aux conséquences catastrophiques sur la chaine alimentaire et de retirer de la liste des «nuisibles» les renard, martre, putois et belette sur toutes les communes qui se plaignent des dégâts dûs aux rongeurs.
Cette mesure représente le seul moyen efficace, naturel et gratuit pour lutter contre les dégâts causés aux cultures.
Pierre Athanaze
Président de l’ASPAS
Source: ASPAS.
La côte Montguichet des communes de Gagny,
Chelles et Montfermeil
La région Ile de France s'empare des anciennes carrières de Gagny, Chelles et Montfermeil
Par Hullnudd le dimanche 29 janvier 2012, 11:51 - Côte Montguichet - Chelles
Le projet que nous avions élaboré en accord avec la commune de Chelles et la Région Ile de France va être mis en œuvre. Ainsi, sous l'impulsion de la Région, l'Agence des Espaces Verts d'Ile de France travaille déjà à la reprise du projet que nous portons au travers du collectif "Les Amis du Montguichet" depuis maintenant 2ans et demi.




«Pyrénées Mont Perdu», patrimoine mondial de
l’UNESCO menacé

Comme vous le savez, le projet de station de station de ski entre Piau-Engaly et le tunnel de Bielsa devrait jouxter la limite Est du Parc National des Pyrénées qui correspond également à celle du patrimoine Mondial UNESCO «Pyrénées Mont Perdu».
C’est pourquoi, nous venons d’adresser au Centre du Patrimoine Mondial de l’UNESCO à Paris, la lettre ci-jointe que vous pourrez télécharger.
Elle attire l’attention des membres de l’UNESCO sur les dégâts que ne manquera pas d’occasionner le projet de station, tant sur le plan du pastoralisme que sur l’impact paysager.
Ce dernier aspect, évoquant la «co-visibilité» depuis la zone Patrimoine Mondial, a d’ailleurs été reconnu plusieurs fois dans le dossier d’Unité Touristique Nouvelle (UTN) déposé.
Source: Sauvons la Gela.


A danger exceptionnel, mobilisation exceptionnelle !
Chers adhérents, associations adhérentes et sympathisants :
La FRAPNA, vous le savez, est très préoccupée par la menace que représente les gaz et huiles de schiste. Outre les risques environnementaux immédiats, l’exploitation des hydrocarbures non-conventionnels est en effet le meilleur moyen de tuer les énergies renouvelables et d’empêcher une reconversion énergétique.
Dès le début la FRAPNA 74 a participé activement à la création du collectif haut savoyard « non au gaz de schiste » et vous a appelé à le soutenir. Ce collectif a pris une grande ampleur et le 11 février, c'est toute la Haute savoie qui va manifester son refus de voir notre territoire se transformer en « Gas land ».
La FRAPNA vous invite :
-
A diffuser très largement l'information sur la journée du 11 février à Saint Julien,si possible au delà des cercles environnementaux habituels ( par internet ou éventuellemnt en reproduisant la version papier du tract )
-
A rejoindre le collectif (si ce n'est pas déjà fait ) et à inciter tous vos membres ou connaissances à adhérer individuellement.
Chargée de communication & vie associative
FRAPNA Haute-Savoie
04 50 67 16 16
www.frapna-haute-savoie.org

Un enfant de 12 ans abattu par un chasseur
Hier, lors d’une sortie en quad avec son père, un enfant de 12 ans est mort, touché en pleine tempe par la balle d’un chasseur.
L’ASPAS, qui réclame une trêve de la chasse le dimanche, attend une réaction immédiate du Gouvernement.
Ce drame n’est pas un cas isolé, puisque d’autres accidents de chasse ayant entraîné la mort d’un enfant ont déjà été recensés les années précédentes.
En France, la chasse n’est pas seulement une activité terriblement dangereuse pour ses pratiquants (plusieurs dizaines de morts chaque année, des centaines de blessés), elle l’est également pour tous les usagers de la nature (promeneurs, cueilleurs de champignons, cavaliers,naturalistes, ).
Cette source d’insécurité permanente se pratique avec des armes à feu puissantes, dans des espaces ouverts à tous, et les rares mesures de sécurité mises en place par les chasseurs (signalisation, gilets fluorescents) ne suffisent donc pas à garantir la sécurité des citoyens.
Les accidents survenant majoritairement le dimanche (60%), l’ASPAS réclame depuis des années une simple mesure de bon sens: l’arrêt de la chasse le dimanche.
Plus de 260 000 signatures en faveur d’une trêve dominicale des fusils ont déjà été récoltées. Pourtant, notre requête a été rejetée par Nathalie Kosciusko-Morizet dans un courrier que nous recevions en début de mois.
L’arrêt le mercredi, qui fut une victoire de la démocratie, a quant à lui été vite oublié
L’ASPAS alerte l’opinion publique sur l’organisation laxiste et passéiste du système cynégétique français, et dénonce l’absence totale de législation et de réglementation sur les règles de sécurité liées à ce divertissement, pourtant très meurtrier.
Les chasseurs représentent moins de 2 % de la population mais s’approprient la nature pendant 6 mois de l’année, au détriment de tous les autres.
Il est donc indispensable que les mentalités et la législation évoluent !
La fermeture de la chasse le dimanche est donc aujourd’hui la seule manière de faire baisser significativement le nombre d’accidents de chasse et de permettre à tout citoyen de profiter sereinement de notre patrimoine naturel commun.
Notre association attend, encore et toujours, une prise de position énergique ainsi
qu’une décision claire et immédiate du Gouvernement à ce sujet.
Pierre Athanaze
Président de l’ASPAS
tél.: 06 08 18 54 55
NB: L’ASPAS envoie gratuitement son dépliant «Stop à l’insécurité liée à la chasse» et un dossier de presse à tous les journalistes en faisant la demande (par mail, fax, courrier).

J'écris aujourd'hui avec des nouvelles tragiques sur le syndrome du nez blanc (WNS), la maladie qui a décimé les populations de chauves-souris nord-américaines au cours des six dernières années.
Le United States Fish and Wildlife Service a annoncé aujourd'hui qu'elle syndrome du nez blanc a tué aujourd'hui plus de 5,7 millionschauves-souris. La nouvelle estimation, que certains biologistescroient peut-être conservateur, va jusqu'à 6,7 millions d'euros.
Etant donné les nombreuses photos déchirantes de chauves-souris mortes couvrant les sols gelés de grottes, nous avons soupçonné le nombre de décès serait élevé.
Mais il est encore désolant de nos pires craintes confirmées.
Nous espérons que cette nouvelles aidera les fonctionnaires fédéraux et à comprendre la vaste portée de cette crisede la faune et le besoin urgent de financement.
Si WNS continue à prendre une telle lourd tribut, les coûts environnementaux et économiques seront énormes.
BCI continue de diriger les efforts pour combattre cette maladie.
Vous pouvez aider en faisant un don au programme de BCI syndromeBlanc-nez et autres efforts de conservation.
Votre don aidera à s'assurer des chauves-souris sont de l'ordre pour les générations futures.
Warm Wishes,
Nina Fascione
Executive Director
Bat Conservation International