Parution du livre :
«Guide des oiseaux
des villes et des jardins».
Editions Belin.
Engagement de l’auteur: Ce guide a vu le jour pour deux raisons :
- Pérenniser la vie du site de défense de l’environnement Web-ornitho.com.
Ce site n’ayant pas de but lucratif, il est géré dans le plus complet bénévolat et à donc besoins de fonds pour survivre.
- Les fonds générés par les ventes de ce guide seront également destinés à l’acquisition d’un ou plusieurs espaces naturels afin d’en faire des refuges pour la biodiversité (Le suivi du projet sera possible sur le site de Web-ornitho afin de garantir une transparence totale).
Présentation du guide:
Les 100 espèces les plus fréquentes sont décrites dans ce guide qui permettra au lecteur, grâce à un système d’onglets très simple à utiliser, de trouver rapidement un oiseau recherchée.
Chaque fiche comporte, en plus des éléments techniques nécessaires à l’identification, une description ludique, parfois humoristique, des mœurs et habitudes de l’oiseau.
D’où vient l’expression tête de linotte ?
Pourquoi la buse est dite variable ?
Quel oiseau, un des plus petits d’Europe, a un des chants les plus puissants ? Chanter comme un Rossignol ?
Quel oiseau male est capable de gérer six nids simultanément ?
A chaque espèce, une anecdote qui fait de ce guide un appel divertissant à voyager dans mon monde, la tête en l’air.
Format : Livre de poche, 224 pages
Prix : 16,90 € (16€ par bon de commande + frais de port offerts)
Vous pouvez consulter, feuilleter le guide en ligne ou l'acheter à l’adresse suivante :
http://www.editions-belin.com/ewb_pages/f/fiche-article-guide-des-oiseaux-des-villes-et-des-jardins-13727.php
Pour télécharger le bon de commande qui permet de bénéficier d'une réduction ainsi que des frais de port offerts, cliquez sur le lien suivant :
http://www.web-ornitho.com/images/guide_oiseaux_morin.pdf
Que vous achetiez ou non le guide, merci de diffuser ce message à vos contacts et amis afin d'assurer la réussite de cette initiative !
Merci à tous pour votre soutien.
Jérôme Morin:
Naturaliste et terrien.
http://www.web-ornitho.com
Responsable du site Web-ornitho.com.
Fondateur du Cercle d’Action Internet pour la Nature.
Halte aux meurtres des loups en France

Dessin d'Angèle.
Depuis 2004, nous avons déposé plainte auprès de la Commission Européenne concernant les tirs de six loups dans neuf départements français.
C'était la même année, qu'un chasseur a tué Cannelle (1 novembre 2004).
En 2005, nous avons déploré les tirs sur nos amis les loups.
Une plainte a été déposée auprès de la Commission Européenne.
Malheureusement, celle- ci n'a pas tenue compte de nos inquiétudes.
Hélas, la France continue à massacrer les loups.
Le loup est strictement protégé (Convention de Berne ) et est protégé dans la Directive Habitat (Commission Européenne).
Un loup a été tiré au Petit Bornand, par un chasseur, au mois de février dernier.
Malgré cela, La Secrétaire d'Etat à l’Ecologie, Chantal Jouanno, avait prorogé dans la précipitation et uniquement pour le préfet de Haute-Savoie, l’arrêté permettant le prélèvement d’un loup (le protocole 2008-2009 était valide jusqu’au 31 mars 2009).
Pourtant, le Week - end dernier, une louve a été tirée par un lieutenant de louveterie.
Cette louve était la dominante de la meute : l’autopsie a montré qu’elle portait des fœtus.
Nous soutenons les associations françaises dans leur combat pour le respect de la loi,de la
Convention de berne et de la Directive Habitat afin que les loups puissent cohabité avec l'homme.
Nous avons décidé de lancer une pétition pour les loups.
Signer la pétition
Merci pour nos amis les loups.

Communiqué de presse - Mercredi 13 mai
OGM : les vrais enjeux du Haut Conseil des Biotechnologies
La première réunion du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) s’est tenue le 12 mai 2009. France Nature Environnement (FNE) se félicite de la prise de fonction d’un organisme répondant aux vœux du Grenelle de l’Environnement.
Le rôle du Haut Conseil des Biotechnologies sera d’éclairer le gouvernement grâce à deux comités d’experts et de représentants de la société civile.
Cependant, la composante éthique, social et économique, à laquelle FNE participe, ne pourra émettre que des recommandations alors que la composante scientifique émettra des avis et que, de plus, ces deux comités ne siègent pas ensemble au moment des débats. C’est un net recul par rapport au comité de préfiguration qui a précédé le HCB.
Evaluer tous les enjeux des OGM
Pour Lylian le Goff, responsable du dossier OGM pour FNE : « il importe, bien au-delà des aspects scientifiques portant sur la santé et l’environnement, d’évaluer les vrais enjeux : les risques et intérêts de toute innovation en fonction des critères socio-économiques et géostratégiques du développement durable qui conditionne notre avenir et la politique des Etats. La question fondamentale devant orienter les débats et prises de décision étant, en l’occurrence : tel OGM est-il compatible avec les critères du développement durable ? »
Deux dossiers urgents, de la plus haute importance, devraient mobiliser les travaux du HCB dans un proche avenir :
Définir le « sans OGM »
Il s’agit de combler une lacune européenne. De cette définition dépendra l’intégrité des semences, de l’environnement et des cultures vis-à-vis des contaminations transgéniques. Lylian Le Goff continue : « C’est aussi grâce à cette définition que les consommateurs devraient bénéficier d’une information honnête avec un étiquetage transparent des produits, particulièrement ceux issus d’animaux en fonction de leur alimentation avec ou sans OGM et à quel taux. » .
Etablir des protocoles d’évaluation des risques des OGM
Jusqu’à présent, les avis rendus par les commissions d’experts européens (EFSA) ou nationaux le sont uniquement après examen du dossier fourni par le demandeur d’autorisation, sans contre-expertise toxicologique indépendante comme inscrite dans le projet de loi Grenelle 1. Le gouvernement doit mettre en œuvre des moyens logistiques et budgétaires pour mener ces contre-expertises.
Avec de nouveaux protocoles d’évaluation, il s’agit aussi de répondre à la demande du Conseil des ministres européens de l’environnement de « renforcer et d’harmoniser les méthodes d’évaluations des risques OGM en Europe ».
Pour FNE, la question des OGM ne se limite pas à un débat scientifique. Il faut tenir compte de tous les impacts des OGM, de leurs relations avec les pesticides sur le plan toxicologique, mais aussi de leurs conséquences socio-économiques. C’est ce message qu’elle portera au sein du Haut Conseil des Biotechnologies.
Source:FNE.