Communiqué de presse Lundi 7 septembre 2009
Fuite de pétrole dans la Crau : une dépollution qui accentue le désastre écologique.
Le 7 août 2009, la rupture d’un pipeline géré par SPSE dont les actionnaires majoritaires sont Total et Exxon, a entraîné le déversement de 4 000 m3 de pétrole dans la réserve naturelle nationale de la Crau. Si la priorité est d’enlever le pétrole avant les pluies pour éviter la propagation de la pollution, les associations s’inquiètent des conséquences des travaux de dépollution et redoutent que la priorité pour SPSE soit juste de remettre le pipeline en état de marche au plus vite !
Des travaux titanesques qui élargissent la zone impactée
Les travaux de dépollution consistent à retirer une couche de 40cm sur les 5 ha touchés, à l’aide de tracto-pelles entraînant une rotation d’environ 1 600 camions.
Les associations constatent que la SPSE ne respecte pas le protocole de dépollution tel que défini avec les services de l’Etat, en dépit de l’avis et de la désapprobation des gardes de la réserve naturelle.
En effet, actuellement la circulation se fait de manière désordonnée : les engins roulent et écrasent végétaux et animaux sur plus de 13 ha de milieu naturel protégé. Aucune voie d’accès n’a été définie en accord avec la Réserve Naturelle.
De plus, des sondages ont été réalisés par la SPSE dans la réserve et sur le site Natura 2000, sans aucune évaluation d’incidences préalable. D’ailleurs, l’un des sondages a fait l’objet d’un procès-verbal.
Enfin, la SPSE poursuit la vérification de l’état du pipeline. Des corsets métalliques ont déjà été posés pour le renforcer, ce qui redouble notre inquiétude quant à l’état de dégradation du pipeline
Un manque de transparence dans la communication
La société ne donne pas toutes les informations nécessaires au bon déroulement de l’opération, nuisant ainsi à une bonne coordination des travaux de dépollution. Les journalistes se sont vus refuser l’accès au site par la SPSE. Donc, l’essentiel des informations en circulation n’ont qu’une seule et unique source : le service communication de la société !
Dorénavant, la mise sous séquestre de la zone polluée pour cause de procédure judiciaire en cours constitue un obstacle supplémentaire à la surveillance par le gestionnaire de la réserve.
De fortes attentes des associations
L'URVN et ses associations membres, avec l'appui de FNE, soucieuses de protéger la Crau et du respect du statut de réserve naturelle nationale demandent :
- une réunion en urgence, ouverte à tous les acteurs concernés, dont les scientifiques régionaux et nationaux, pour établir un cahier des charges sous tutelle de l’Etat définissant les modalités de dépollution, de restauration et de compensation, mais aussi de circulation des engins,
- la mise en œuvre d'un suivi du chantier de dépollution, avec des points d’étapes réguliers et avec la possibilité de tout stopper en cas de problème,
- l'instauration d’une réflexion scientifique sur l’impact de la pollution sur la nappe phréatique et sur la zone de coussouls touchées,
- et surtout une analyse sur l'état et les risques des canalisations et installations industrielles, actuelles et futures qui traversent la Crau avec, dans un cadre plus général et une démarche proactive, la création d’un comité de suivi des procédures de surveillance, auquel participeraient les APNE, pour l’ensemble des pipelines de la région.
Pour Pierre APPLINCOURT, président de l'URVN : "La Crau dans son ensemble, et pas que la réserve, est un milieu exceptionnel. Malheureusement, elle est soumise à une pression économique forte. D’autres projets de gazoducs sont prévus. Nous craignons pour l’avenir de ces milieux naturels uniques en France où subsistent des espèces endémiques. Il faut absolument que les acteurs économiques tiennent compte de cette donnée. La protection de la nature ce n’est pas que dans les publicités !".
Source: France Nature Environnement.
Le 07/09/2009
Nouveau type de décision prenne effet le 1 Septembre 2009 |
Lundi 31Août 2009 | |
L'arrêté du Gouvernement flamand du 15 Mai 2009 sur la protection des espèces et la gestion des espèces - le soi-disant type de décision, le 13 août dans la Gazette officielle a été publiée - prendra effet à partir de demain 1er Septembre. Il s'agit d'une loi globale qui est devenue la protection des mammifères, oiseaux, reptiles, d'amphibiens, d'invertébrés, les plantes, les lichens et les contrôles des champignons. Il prévoit la traduction partielle des directives Oiseaux et Habitats. Avec l'entrée en vigueur de la présente loi sont peu nombreux, la réglementation en vigueur définitivement levées, y compris l'arrêté royal du 9 Septembre 1981 sur la protection des oiseaux dans la région flamande, qui a duré 28 ans. Flandre Vogelbescherming était actif dans la création de l'acte en question, mais n'est pas aussi enthousiastes à la ligne entière. En raison du fait que la Commission européenne, le gouvernement flamand à la Cour européenne de Justice avait intentée pour violation de la libre circulation des marchandises, les négociants en bétail sont également protégés à partir de demain, des espèces d'oiseaux européens mai offrir à la vente, à condition que les oiseaux nés en captivité et cultivés, et non de la nature.
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Dimanche 30 août 2009
Dans les Landes, Allain BOUGRAIN DUBOURG, président de la LPO, les membres de la LPO Aquitaine et de la SEPANSO Landes ont visité ce dimanche matin 30 août de nombreuses installations illégales de capture de Bruant ortolan, espèce protégée. Ils ont procédé à la libération de plusieurs dizaines doiseaux prisonniers des « matoles » et ont neutralisé plus de 200 pièges.
Il faut savoir que le Bruant ortolan est une espèce nicheuse en déclin dans tous les pays d’Europe (Belgique, Pays-Bas, France, Italie, Allemagne, Autriche ) sauf en Pologne, Bulgarie et pays baltes.
Les prélèvements effectués en France par cages pièges, appelées localement matoles, et pratiqués dans les Landes de la mi-août à fin septembre, sont de 30.000 voire 50.000 oiseaux selon les années, soit l’équivalent des populations nicheuses du Benelux, de l’Allemagne, du Danemark, de la Tchéquie, de l’Autriche et de la Slovaquie réunies, d’où sa protection officielle par arrêté ministériel du 5 mars 1999.
Voilà maintenant 4 ans que la LPO s’investie sur le terrain pour dénoncer la situation de tolérance établie entre l’administration et les braconniers sans résultat concret. Malgré les promesses faites par le Ministère de l’Ecologie pour mettre un terme à cette situation, seuls huit procès verbaux ont été dressés l’année dernière alors que le nombre de braconniers est évalué à plus de 1200. Aujourd’hui, les équipes de la LPO constatent que la situation reste inchangée.
A la veille de l’année mondiale pour la biodiversité, la LPO demande que l’Etat assure fermement son rôle de lutte anti braconnage, en espérant que le dossier ortolan ne traînera pas en longueur comme celui des tourterelles du Médoc (l’Etat a fermé les yeux sur ce braconnage pendant plus de 20 ans )
Allain Bougrain Dubourg
Président de la LPO
Source: LPO.
La plateforme de la Forêt de Soignes
en collaboration avec "de Vereniging voor Bos in Vlaanderen"
vous invite à un après-midi de rencontre
le dimanche 4 octobre 2009 de 14h à 17h au "Bosmuseum" (Hoeilaart)
Thème : La Mort fait la Vie
Le bois mort fait partie de manière indiscutée de la chaine alimentaire. Il en va de même pour les animaux morts qui présentent une grande importance pour les animaux et les plantes de la forêt. Même si leur aspect n'est pas toujours très ragoutant...
En forêt de Soignes, court pour l'instant le projet "La mort fait la Vie". Les animaux qui sont mort à la suite d'une collision avec les voitures sont déposés dans un endroit où des caméras spéciales photographient tous les animaux qui viennent se régaler sur la carcasse. Ceci afin d'étudier la décomposition des animaux de la forêt.
Dirk Raes, garde forestier de l'Agence pour la Nature et la forêt (gestionnaire forestier de la Région flamande), sera notre guide pour cette excursion où mort et vie s'entremêlent.
Notre promenade débutera à 14h à l’entrée du "Bosmuseum" et se terminera par un verre de l'amitié vers 17h.
Au plaisir de vous revoir le 4 octobre à 14 heures... |
Pourquoi ?
Stopper la perte de la biodiversité en 2010 : tel était le pari de l’Union Européenne. Mais alors que la fin du compte à rebours approche,
il est évident que les efforts des pays membres ne seront pas suffisants pour relever ce défi.
Acheter du terrain pour le protéger
Protéger la faune sauvage et la flore passe désormais par l’achat de parcelles. Grâce à vos dons [1], AVES France s’engage à acheter des terrains agricoles et des prairies en Roumanie, pays qui offre encore une biodiversité rare en Europe (ours, loups, lynx, chats sauvages, cerf des Carpates, renards, sangliers, biches, chevreuils, blaireaux, martres des pins, etc., mais aussi de nombreuses espèces d’oiseaux, de papillons, de butineurs...).
Acheter des terrains pour participer à la protection de la nature en Europe, c’est la nouvelle campagne
de l’association AVES France : 1.000 euros : 1 ha protégé !
Action pour les loups:
Dieses Email hat das Ziel, die rund 15 Wölfe, welche in der Schweiz leben, besser zu schützen. Drei Wölfe sind nämlich vor Kurzem von den Behörden zum Abschuss freigegeben worden, obwohl der Wolf international streng geschützt ist. Grund für den Abschuss: diese drei Wölfe haben in den Alpen frei herumlaufende Schafe gerissen. Auch für die verbleibenden Wölfe besteht die Gefahr, dass sie in Zukunft abgeschossen werden. Es besteht deshalb dringend Handlungsbedarf!
Um zu helfen, musst du folgende zwei Dinge tun:
1. Dieses Email an all deine Freunde weiterleiten.
2. Dieses Email weiterleiten an folgende Personen, welche den Abschuss verhindern können
(Email-Adressen markieren, kopieren und einfügen):
reinhard.schnidrig@bafu.admin.ch , jacques.melly@admin.vs.ch , peter.scheibler@admin.vs.ch ,max.pfister@lu.ch
, josef.muggli@lu.ch , samuel.vogel@blw.admin.ch , bruno.oberle@bafu.admin.ch, manfred.boetsch@blw.admin.ch
, urek.ceate@pd.admin.ch , prowolfstatistik@gmx.ch
Mehr Hilfe für Schafzüchter und besserer Schutz der Wölfe
Schafzüchter und Bauern dürfen nicht benachteiligt sein durch die Präsenz der Wölfe in der Schweiz.
Ich fordere deshalb grosszügige Unterstützung für Schafzüchter, deren Schafe von einem Wolf gerissen werden.
Ebenfalls verlange ich mehr Geld für Herdeschutzmassnahmen.
Zweitens fordere ich, dass in der Schweiz keine Wölfe mehr geschossen werden dürfen.
Die Mehrheit der Bevölkerung möchte das nicht (siehe diverse Umfragen von WWF, Zoo Schweiz, etc.).
Diesen Volkswillen gilt es zu respektieren. Es kann nicht sein, dass die Schweiz mit ihrem Vorzeigecharakter im 21.
Jahrhundert ein international streng geschütztes Tier wie den Wolf gezielt tötet!
Deshalb fordere ich mehr Hilfe für Schafzüchter und Bauern sowie einen besseren Schutz der Schweizer Wölfe.
Für Fragen oder Rückmeldungen: Facebook-Gruppe "Pro Wolf Schweiz" - prowolfschweiz@gmx.ch
En français:
reinhard.schnidrig@bafu.admin.ch , jacques.melly@admin.vs.ch , peter.scheibler@admin.vs.ch ,
max.pfister@lu.ch , josef.muggli@lu.ch , samuel.vogel@blw.admin.ch , bruno.oberle@bafu.admin.ch,
manfred.boetsch@blw.admin.ch , urek.ceate@pd.admin.ch , prowolfstatistik@gmx.ch
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