02/02/2010
Aujourd'hui est la Journée mondiale des zones humides et le thème de cette année - Prendre soin de zones humides: une réponse au changement climatique - souligne les liens entre les zones humides, biodiversité et changement climatique. "Prendre soin des zones humides fait partie de la solution aux changements climatiques», a déclaré Melanie Heath - Conseiller principal sur les changements climatiques à BirdLife. "Si nous bien les gérer, les écosystèmes des zones humides et de leur biodiversité ont un rôle vital à jouer dans l'atténuation des contre, et une adaptation à ces changements climatiques».
Écosystèmes d'eau douce sont indispensables à la vie sur terre, en dépit d'occupation inférieur à 1% de la surface de la terre. Ils fournissent des services des écosystèmes - tels que l'eau, les poissons, la purification de l'eau et contrôle des inondations. Changement "Les fonctions fournies par les zones humides sont essentielles à la survie humaine et faciliter notre capacité de résistance aux conditions climatiques», ajoute Mélanie. «Par exemple, en raison de leur capacité à stocker et libèrent lentement l'eau, les zones humides peut être un lien vital dans les périodes de sécheresse extrême".
Mais l'existence de ces zones humides, qui font partie de la solution aux changements climatiques, sont eux-mêmes vulnérables aux changements climatiques, comme le souligne cette année le thème de la Journée mondiale des zones humides. Il ya beaucoup de preuves que la vie moderne est à l'origine des pertes sans précédent des espèces au niveau mondial, et que le changement climatique rend la situation bien pire.
Source:BirdLife International
formons une chaîne solidaire
au rythme envoûtant de nos sonneurs
pour dire NON au sortilège qui menace Brocéliande !!!
La lutte pour préserver le plus grand massif forestier de Bretagne
est plus que jamais d’actualité !!
Le projet d’implantation de centre d’enfouissement technique et d’usine de traitement de déchets de 65 communes (30 000 tonnes par an) au cœur de la forêt est actuellement bloqué.
Il est encore possible de la protéger !!!
Nous sommes toujours dans l’attente des dates de 4 audiences
qui devaient avoir lieu le 09 juillet 2009 :
Ne rien faire, c’est laisser faire !!
Ne laissons pas Brocéliande s’embourber dans les déchets
Préservons la terre nourricière pour nos enfants
Fiesta-Noz à Paimpont (35380) à partir de 19h00
Source:Sauvegarde Brocéliande.
CVN: Directive européenne sur la conservation des oiseaux et éthique écologiste
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Troisième et dernière émission consacrée à la biodiversité. Une question centrale : comment préserver la biodiversité en milieu forestier ? Deux reportages proposent des pistes de réflexion. LES BOSGROEPEN (un reportage de Claudine Brasseur et Eric Tamundele) En Flandre, 70% de la forêt appartient à des propriétaires privés, et est extrêmement morcelée. La superficie moyenne d'un bois est d'1 ha. Constat dans les années 1990 : la forêt est en mauvais état et il est urgent de la restaurer. Un outil de gestion est mis à disposition de tous les propriétaires : les Bosgroepen. Leur but : proposer une aide concrète aux propriétaires pour restaurer et préserver leur patrimoine, tout en le rentabilisant. Lutter contre une espèce envahissante, le cerisier tardif ; organiser l'ouverture des bois au public ; promouvoir une nouvelle vision de la gestion forestière, basée sur un esprit communautaire et un partage des responsabilités. Le résultat est spectaculaire, 15 ans plus tard : la biodiversité revient, des dizaines d'ha sont ouverts au public, des zones récréatives sont créées, un véritable esprit de " développement durable " s'installe. Partenaires publics et privés tissent des liens fructueux, dans le souci de la biodiversité. Un modèle intéressant pour la désignation des sites Natura 2000 en Flandre, qui fera certainement des émules ailleurs en Europe... L'équipe du Jardin a rencontré plusieurs acteurs de cette expérience unique en Europe, en province d'Anvers. LA FORET DE ROGNAC (un reportage d'Isabelle Masson et Eric Tamundele) Au coeur de l'Ardenne condruzienne, la forêt de Rognac est l'une des rares à n'avoir fait l'objet d'aucune intervention humaine depuis près d'un siècle. A un jet de pierre de Liège, incursion dans cet endroit magique où la nature est redevenu reine : une petite dizaine d'hectares recouverts d'une exceptionnelle variété de milieux forestiers... et des ambiances poétiques, qui permettent d'imaginer à quoi ressemble une vraie forêt primaire. L'invité : Tom Dedeurwaerdere, professeur à la Faculté de Philosophie du Droit, étudie le processus d'apprentissage des propriétaires privés à ce nouveau mode de gestion, qui rejoint les critères du développement durable.
AU COSTA RICA
A DIVULGUER S..V.P
ILS PRENNENT LES OEUFS DES TORTUES POUR LES VENDRE
A repasser sans modération, la planète vous remercie
Les associations attentives à la nature bruxelloise, regroupées sous la bannière de Bruxelles-Nature, tirent la sonnette d’alarme: le remplacement des marronniers, av. de Tervuren, par des tilleuls argentés risque d’avoir des incidences très graves sur les populations d’insectes butineurs.
En effet, l’arbre de remplacement choisi, le tilleul argenté (Tilia tomentosa) est un arbre très odorant, à l’odeur parfois même écœurante. Dans la nature, les odeurs sont
liées à l’annonce de nourriture, elles indiquent la présence de nectar aux insectes en quête de ce liquide sucré.
Ce parfum puissant secrété par le tilleul argenté attire les abeilles à plusieurs kilomètres à la ronde. Une fois sur place nos butineuses, par l’odeur ensorcelées font bombance de pollen et de nectar et repartent ravies.
Sauf qu’il y a un problème de taille : le tilleul continue à diffuser cette odeur attractive lorsqu’il fait très chaud et sec, alors que, par manque d’eau à pomper dans le sol, il ne produit plus ce précieux nectar. En cas de sécheresse, l’arbre est un leurre pour les abeilles et les bourdons qui accourent au festin annoncé par les sécrétions olfactives mais trouvent table dressée, mais coupes à nectar vides. L’odeur les persuade que la récompense se cache au cœur de la fleur, mais n’y trouvent aucun liquide sucré duquel se régaler. Les insectes errent alors et tournent en rond jusqu’à mourir d’épuisement et de faim.
Il semble que nos autorités et nos administrations compétentes dans le dossier des arbres de l’avenue de Tervuren n’aient pas été informées de l’aspect docteur Jekyll et Mister Hyde des tilleuls argentés. Cet arbre est interdit de plantation dans certaines régions d’Autriche. En fond de vallée humide, le problème ne se présente pas. L’avenue de Tervuren a-t-elle le profil de « sol riche et frais » ? Peut-être dans le fond, près des étangs Mellaerts, mais ailleurs sur les flancs de la vallée de la Woluwe ?
Pour Bruxelles Nature, le principe de précaution doit s’appliquer dans le présent cas. On ne peut prendre le risque de tuer nos abeilles urbaines les années de sécheresse. Les plantations à Bruxelles doivent tenir compte de la biodiversité urbaine. Dans la ville les arbres vivent, les insectes vivent, les oiseaux vivent, les hommes vivent !
Nous demandons que le choix des espèces plantées se fasse en cohérence avec le milieu urbain dans lequel il se situe.
D’autant plus que d’autres boulevards bruxellois devraient prochainement connaitre le même sort.
Nous souhaitons également la mise en place d’une commission biodiversité, qui examinerait tous les dossiers d’aménagement prochainement connaître le même sort.
Nous souhaitons également la mise en place d’une commission biodiversité, qui examinerait tous les dossiers d’aménagement du territoire, tant public que privé, qui étudierait l’ensemble des éléments influençant le vivant et qui rendrait des avis contraignants.
Marc WOLLAST H. MARDULYN
Apis Bruoc Sella Président de Bruxelles Nature
GSM : 0475 60 10 78 (pour infos complémentaires)
Suite du dossier.
La FCPN invite tous les auteurs à raconter leur rencontre et leur conversation avec une plante sauvage, une herbe folle rencontrée au bord du chemin.
Modalités du concours
Constitué des administrateurs de la Fédé et de la LPO, ainsi que des salariés et bénévole de La Garance voyageuse, le jury distinguera les meilleurs textes en fonction de leur originalité et sensibilité.
2 catégories : « moins de 12 ans » et « plus de 12 ans » (3 prix par catégories)
1 page maximum, dactylographiée (Arial 10 ou Times New Roman 12)
Textes à retourner, avant le vendredi 19 février 2010 midi, par mail à : educ@fcpn.org ; ou par courrier à : Rencontre végétale, La maison des CPN, 8 rue de l’église, 08240 Boult-aux-Bois.
Chaque participant doit fournir ses coordonnées complètes : nom, prénom, âge (ou date de naissance), adresse, tél., mél. Il précise s’il fait partie d’un club CPN et/ou adhérent LPO.
Résultats : le nom des gagnants sera disponible sur le site internet de la FCPN, de la LPO et de La Garance voyageuse dès le vendredi 19 mars 2010.
Lots des gagnants
Les textes gagnants seront publiés dans La Gazette des Terriers et dans un numéro de La Garance voyageuse. Ils seront aussi publiés dans un document pdf qui compilera tous les textes du concours (téléchargeable sur le site des 3 associations).
Les gagnants recevront un abonnement à la Gazette des terriers d’un an et de nombreux lots nature (abonnement d’un an à La garance, à l’Oiseau mag, des livres ).
Pour en savoir plus
Vous pouvez télécharger le règlement du concours d’écriture pour connaître plus précisément ces modalités.
Téléchargez le communiqué de presse.
La Garance voyageuse
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La LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux)
Source: FCPN.
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