02/10/2011 - La municipalité de Marano cherche à son tour Valle Grotari en port de plaisance.
Un extraordinaire réservoir de biodiversité est en danger.
170 espèces d'oiseaux ont été enregistrées dans les roselières qui occupe maintenant les poissons des vieux étangs d'élevage.
Le site est actuellement l'un des exemples les plus spectaculaires dans le Frioul-Vénétie Julienne de la façon dont un abandon petite zone de terres humides (12 hectares, 30 acres) peuvent,
au fil du temps, devenir un extraordinaire réservoir de richesses naturelles et la biodiversité.
Valle Grotari, un ensemble de vieux bassins d'élevage de poissons, situé juste à côté du-up agglomération de Marano Lagunare, qui est devenu spontanément renaturalisés dans une roselière.
WWF Italia besoin de votre soutien!
QU'EST-CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE
Texte en Français:
Pour: Les autorités régionales et locales responsables
Madame, Monsieur,
Cher Monsieur,
STOP A LA DESTRUCTION DE VALLE à Marano GROTARI LAGUNARE
Malgré site spectaculaire de la valeur naturelle, la municipalité de Marano Lagunare cherche à vendre Valle Grotari à un consortium privé qui propose de construire une place de port touristique
300 avec hébergement associés (hôtels, etc.)
Nous soutenons l'appel lancé par la région Frioul-Vénétie-Julienne WWF appelant à la zone à l'objet de mesures de conservation appropriées, en devenant partie intégrante du système régional d'aires protégées
afin qu'il puisse continuer à remplir sa fonction vitale de la préservation de la lagune de la biodiversité.
Dans l'espoir que les propositions développement seront réexaminées et que la lagune de Bé permet de conserver et de développer ses ressources naturelles et l'attrait qu'ils nous restent,
Cordialement,
(Nom et adresse)
Source: Proact Campaigns.
Un site naturel menacé en Allemagne - par Staff le 11/02/2011 12:12
Protégez la Terre de la Paix, la paix entre les hommes, la nature et les animaux
La terre qui abrite une population exceptionnelle d'oiseaux, de chauves-souris et de papillons,
la terre sur laquelle de nombreuses espèces animales peuvent vivre heureuses, dignement et sans avoir peur,
la terre qui abrite des forêts, des biotopes aquatiques, des bosquets, des champs en pleine santé car cultivés sans aucun produit chimique, bordés de haies et de buissons florissants,
la terre sur laquelle le corps et l'âme peuvent se ressourcer,
la terre qui, par ses animaux emplis de paix et sa nature entretenue avec amour, offre des forces curatives aux enfants et aux adultes et qui, dans le cadre d'un concept thérapeutique global, a déjà guéri bon nombre de blessures intérieures,
la terre construite par des personnes qui continuent jour après jour à la faire grandir, et sur laquelle des visiteurs de toutes cultures peuvent développer une relation à la nature et aux animaux,
la terre dont émanent calme et paix et qui, pour beaucoup de personnes dans le monde entier, est celle d’une nouvelle ère,
la terre qui, également dans des pays éloignés, a fonction d'exemple pour une nouvelle relation pacifique à la nature et aux animaux - un espoir pour la Terre entière qui souffre indiciblement sous le joug des hommes,
la terre qui est connue aux quatre coins du monde grâce aux émissions télévisées : « Reportages sur la Terre de la Paix », qui peuvent être visionnés sur les émetteurs « Die Neue Zeit TV » et « Sophia TV » sur Astra digital, sur « Erde und Mensch » et « Sender Neu-Jerusalem » sur Eutelsat/Hotbird, ainsi que sur de très nombreuses autres chaînes télévisées du monde entier.
C'est la terre de la « Fondation Gabriele Internationale pour toutes les cultures du monde entier » qui, en collaboration avec la ferme « Gut Terra Nova », s’engage pour un acte de réparation globale envers la nature et les animaux, dans la conscience que les hommes, les animaux et les plantes sont les créatures de Dieu. Cette Terre de la Paix, qui se trouve en Allemagne, à proximité de Würzburg, est maintenant
MENACÉE PAR UN PROJET DE ROUTE ABSURDE QUI DÉTRUIRAIT TOUT !
Trophées de la nature ASPAS 2010 - par Staff le 09/02/2011 10:26
Communiqué de presse,
Le 09 février 2011
Trophées de la nature ASPAS 2010 Borloo et Chatel conspués par les écologistes
Comme chaque année, l’Association pour la Protection des Animaux Sauvages (ASPAS) a le privilège de décerner les trophées de la nature. Attribués suite aux votes des adhérents de l’association, ces trophées récompensent les efforts de certains en matière de protection de la nature (Trophée de plume) et condamnent les actes écologiquement dommageables d’autres (Trophée de plomb).
LE TROPHÉE DE PLOMB 2010 est attribué à Jean-Louis Borloo et Luc Chatel. Le 4 mars 2010, le ministre de l’Éducation Nationale, Luc Chatel, a signé la première « Convention de partenariat pour l’éducation au développement durable » avec la Fédération Nationale des Chasseurs et le ministre de l’Écologie, Jean-Louis Borloo, alors que celle-ci a toujours été refusée aux structures professionnelles d'éducation à la nature. Cet accord entre chasseurs et Gouvernement encourage l’entrée du lobby chasse dans nos écoles. Il s’agit d’une véritable entreprise d’endoctrinement qui consiste à faire la promotion d’une prétendument nécessaire « gestion de la nature » afin de trouver de nouvelles recrues chez les chasseurs. Or, le prosélytisme est illégal. Dans un pays où les lois de protection de la nature sont quotidiennement bafouées, certains s’efforcent de défendre efficacement la nature et une écologie responsable.
L’ASPAS a ainsi le plaisir de remettre le TROPHÉE DE PLUME 2010 à Virginie Boyaval. Voilà plus de 5 ans que Virginie a fondé l'association MELES ayant pour but l'étude et la protection du blaireau. Depuis 2008, Virginie sillonne la France pour présenter le film qu'elle a réalisé "Le blaireau de l'ombre à la lumière" qui pointe du doigt la cruelle pratique du déterrage, elle s'est déplacée dans plus de 200 écoles pour sensibiliser les enfants à cet animal si mal considéré, donne des conférences, effectue des suivis de population, étudie l'impact de la mortalité routière, apporte des soins aux blaireautins orphelins et adultes blessés et se bat pour que le blaireau obtienne le statut d'espèce protégée. Les journalistes Nathalie Fontrel et Denis Cheissoux (France Info et France Inter) ne sont arrivés qu’à quelques voix de la première place, nombreux ont été les adhérents de l’ASPAS à rendre hommage à leur excellent travail Association libre de toute attache, l’ASPAS est depuis toujours et reste résolument apolitique. Il n’est ici question que de protection de la nature, une cause qui se situe bien au-dessus des choix politiques...
Puisque les représentants politiques engagés pour défendre la nature sont rares, les associations telles que l’ASPAS se doivent de dénoncer les atteintes à la biodiversité, à notre environnement et ce dans l’intérêt de tous.
Les trophées, mis sous cadre, ont été envoyés aux lauréats.
Contact presse:
Pierre Athanaze
Président de l’ASPAS
Tél. : 06 08 18 54 55
Source: ASPAS.
Invitation à une exposition par Damien Hubaut - par Staff le 07/02/2011 09:07
Une invitation à mon exposition de photographies animalière en février
Conférences consacrées aux abeilles - par Staff le 31/01/2011 11:01
Conférences consacrées aux abeilles
28 février 2011 - Conférence : Mon jardin, réservoir de biodiversité, est-ce possible en ville ?
Mon jardin, réservoir de biodiversité, est-ce possible en ville ?
Partout dans le monde, on parle de la disparition des abeilles.
On dit aussi qu'elles se portent mieux en ville.
Est-ce vrai ?
Pourquoi les abeilles iraient-elles mieux en ville ?
Nos villes ont-elles un rôle conservatoire ?
Mais en tant que citoyens, qu'est-ce que l'on peut faire pour aider la nature sauvage dans nos villes ?
Conférence de Marc Wollast - Apis Bruoc Sella
Tout public adulte
Date : le 28 février à 18h30 précises
Lieu : rue de la Mutualité 34 à 1180 Uccle
22 mars 2011 "La place de l'abeille en ville" à Forest
Conférence : La place de l’abeille en ville
Partout dans le monde, les abeilles disparaissent sans que l'on sache vraiment pourquoi ?
La ville, avec ses parcs, ses jardins et ses nombreuses terrassesfleuries se révèleaccueillante pour les abeilles
qui trouvent de moins enmoins de biodiversité à la campagne.
Qu’elles soientdomestiques ou sauvages, elles ont pris leurquartier dans les villes.
ØQuel est le rôle des abeilles ? ØQuelle est la situation actuelle ? Mais que se passe t’il exactement ? Ø On dit qu'elles se portent mieux en ville. Est-ce vrai ?
Ø Pourquoi les abeilles iraient-elles mieux en ville ?
Ø Nos villes ont-elles un rôle conservatoire ? ØQue peut-on faire pour aider les abeilles ?
Le Parc national des Virunga (République Démocratique du Congo) est le plus ancien des parcs nationaux d’Afrique. Il abrite les gorilles de montagne et d'autres espèces particulièrement fragiles.
Pourtant, plusieurs compagnies pétrolières:
dont deux du Royaume-Uni, Dominion et SOCO
se préparent à une prospection pétrolière dans le parc, menaçant
la biodiversité de la région.
Nous avons urgemment besoin de votre aide pour convaincre
ces compagnies de renoncer à leurs opérations prévues à l'intérieur du parc.
Nous, les signataires, vous appelons à vous assurer que Dominion/SOCO abandonne tous ses plans de prospection pétrolière dans le très renommé Parc national des Virunga en République démocratique du Congo (RDC).
Le Parc national des Virunga est le plus ancien parc national africain et son premier Site du patrimoine mondial. Il est connu pour son incroyable - et pourtant si fragile - diversité d'animaux. Le parc abrite également un quart des derniers gorilles de montagne, une espèce de primates emblématique et proche de l'homme.
Ouvrir le Parc national des Virunga à la prospection pétrolière mettrait en péril des décennies d'efforts de conservation. Ces coûteux efforts, qui ont été couronnés de nombreux succès, ont été déployés pour sauver la biodiversité unique du parc. La prospection menacerait également le tourisme et la pêche, sources de revenus pour les populations locales.
Nous sommes convaincus que vous ne souhaitez pas que Dominion/SOCO soit associé à une telle incidence sur un Parc national si prestigieux et mondialement reconnu.
le PRIX PAUL DUVIGNEAUD - par Staff le 26/01/2011 13:47
le PRIX PAUL DUVIGNEAUD
de l'Éducation permanente à l'Environnement urbain
soutenu par la Commission communautaire française
L'édition 2011 : 2500 EUR pour un projet sur le thème
"Corridors verts"
QUI PEUT PARTICIPER ? Le concours est ouvert à tout "collectif";quelques exemples:
asbl, associations de fait
écoles, de tous niveaux
comités de quartier
maisons de quartier
citoyens réunis pour l'occasion
L'OBJECTIF
Développer un projet d’éducation permanente en Région de Bruxelles-Capitale, abordant le thème des corridors biologique
(zones de liaison du réseau écologique).
LE THÈME
Les corridors biologiques sont « un ou des milieux reliant fonctionnellement entre eux différents habitats ». C.-à-d. qu’ils permettent la circulation de nombreuses
espèces sauvages (et le brassage de gènes ) entre, par exemple, deux boisements, ou une mare abritant la reproduction des amphibiens et une friche permettant
l’alimentation des adultes.
Des exemples ? Certaines haies, des talus de voies ferrées ou des lisières variées font de très bons corridors verts !
Le thème des « corridors verts » s’inscrit dans ce que nous enseigne la science écologique aujourd’hui : gérer « écologiquement » des jardins ou des
parcs est une chose très utile, mais il faut aussi une gestion à l’échelle des paysages, permettant d’interconnecter les sites en un réseau
écologique cohérent, via des éléments de liaison.
Une bonne part du (re)déploiement de la biodiversité en dépend, y compris en ville. Et la qualité de vie peut elle aussi s’en trouver améliorée
(aspects visuels, mobilité douce ).
les abords de voies ferrées constituent des zones de liaison essentielles à Bruxelles
Compliqué ? Pas nécessairement ! Planter une haie pour prolonger une lisière n’est pas chose difficile en soi, pas plus que de connecter un espace vert clos à un talus de voie ferrée, en imaginant des « passages à faune » pour bas de clôture ou le remplacement d’une porte par une grille.
Mais le défi, en matière de gestion à l’échelle des paysages urbains, reste la multiplicité et la diversité des acteurs qu’il faut sensibiliser. Un travail d’éducation permanente, donc !
Si vous avez du mal à cerner le potentiel de votre quartier, si vous avez besoin de conseils pratiques pour des aménagements (plantation de haie...), le Centre Paul Duvigneaud peut vous y aider:
état des lieux des espèces, des types de milieux sur lesquels vous pourriez bâtir un projet, etc. N'hésitez pas à nous contacter !
EN PRATIQUE...
L'appel à projets court jusqu'au 01 juin 2011.
Les collectifs candidats doivent rentrer pour cette dernière date au plus tard, aux coordonnées ci-dessous, un formulaire de candidature décrivant leur projet dans les grandes lignes.Peuvent y être joints, tous les documents que l'auteur de projet jugera utiles à une meilleure compréhension du dossier par le jury: motivations détaillées, description du contexte humain et naturel du quartier, plans, photos, projet de budget (recommandé), statuts du collectif...
formulaire de candidature à télécharger: fichier .doc (60 K) à compléter dans Word fichier .pdf (54 K), si vous préférez le remplir de façon manuscrite
Le jury examinera les dossiers dans le courant du mois de juin 2011 et désignera alors un lauréat, qui se verra remettre la somme de 2500 euros, qui doit permettre au collectif de réaliser tout ou partie de son projet dans les mois qui suivent. La signature du formulaire de candidature engage le collectif, par le biais de son responsable, à concrétiser son projet dans un délai raisonnable, comme précisé dans le règlement du concours.
à télécharger: règlement complet du Prix Paul Duvigneaud, édition 2011 (pdf, 160 K)
ADRESSES
Demandes d'informations, de formulaires... et envoi des dossiers de candidature doivent être adressés au
Centre Paul Duvigneaud de Documentation écologique
CiVA
rue de l'Ermitage 55
1050 Bruxelles
tél.: 02 642 24 92 ou 0470 100 591
centrepduvigneaud(at)gmail.com
Pétitions pour le renard en Région Flamande - par Staff le 26/01/2011 12:18
Schauvliege maire flûte retour Koksijde
Mercredi 19 Janvier. 2011
Tant au nom de son organisation propre et au nom de la Flandre RSPB Natuurpunt RODT Janvier a remis hier 10.000 signatures au ministre flamand de l'Environnement, Nature et Culture Joke Schauvliege.Signataires de la pétition demandant une approche efficace pour prévenir les dommages à la volaille, causés par les renards.Fournir approche efficace est de protéger la volaille correctement au lieu d'étendre chasse au renard.Flandre RSPB a remercié les deux signataires de la pétition que le 4150 amoureux de la nature au cours des trois derniers mois une «carte postale renard» envoyée au ministre.Avant la présentation réelle de la pétition a été un entretien agréable.Le ministre a félicité les deux organisations à l'approche pragmatique de cette question sensible, à savoir la création d'une brochure concise plus intelligent que le renard .A partir de Février, de l'environnement et la nature du Conseil de Flandre (le soi-disant Minaraad) proposer le projet du Gouvernement flamand modifiant la soi-disant "les conditions de chasse décret.Ensuite, la décision sur des avis au Conseil d'Etat et alors seulement, le gouvernement flamand ou non ce formulaired'approbation finale.
Source: Vogelbescherming
Halte aux massacres de loups en Suède: - par Staff le 15/01/2011 16:06
Halte aux massacres de loups en Suède:
Chers amis du loup
Cette lettre est d'inclure les très nombreuses personnes et organisations partout dans le monde qui m'a écrit personnellement l'an dernier et qui ont exprimé des critiques de la chasse sous licence suédoise de loups. Depuis le répète quête tragique, nous avons ouvert ce matin la possibilité d'un moyen facile d'envoyer une lettre à la Commission européenne, pour marquer le commissaire à l'environnement Potocnik sur l'importance d'aller de l'avant avec notre notification (avec le WWF, la Wildlife Conservation et protection des animaux en Suède) v la Suède et de travail pour le cas de la Suède à la Cour de justice européenne.
Mikael Karlsson Président de la Société pour la Conservation de la Nature.
Dear friends
Last year you were kind to send a letter in support of our criticism to the Swedish wolf hunt, which threatens the endangered wolf population in Scandinavia. In spite of much public criticism, and disregarding critical remarks from EU Environment Commissioner Potocnik, following a formal complaint we filed last year, the Swedish government pursues with yet another large-scale wolf hunt, which started today. This year, more than 6000 hunters have registered to hunt down 20 wolves to keep the number under 210 individuals, which is far from a favourable conservation status. Hunting to protect livestock, as well as traffic and illegal hunting, will kill a further high number of individuals.