Un des porte-parole de l’ASPAP (association anti-ours) déclarait en septembre 2009 que 2 ours avaient été tués en Haute-Ariège le printemps précédent.
La justice avait alors été saisie et une enquête menée par l’Office national de la chasse et de la faune sauvage.
Plusieurs dizaines de personnes ont été entendues. "Les gens ne parlent pas beaucoup, peut-être parce qu’ils ne savent pas ou car ils n’ont pas envie d’être mis en cause dans cette affaire", relève le procureur.
L’affaire vient d’être classée sans suite.