Vous êtes ici :   Accueil » Blog » Tous les billets
    Imprimer la page...
Texte à méditer :  On n'hérite pas de la terre de ses ancêtres, on l'emprunte à ses enfants.  

Blog - Tous les billets

 141 membres
Connectés : ( personne )
Ramsar Moulouya  -  par Mohamed
Les ONG écologiques regrettent leur marginalisation
 

Suite à l’action de sensibilisation menée par les associations de protection de l’environnement dans l’Oriental du Maroc et notamment l’Espace de Solidarité et de Coopération de l’Oriental,

le Secrétariat de la Convention Ramsar a organisé à l’invitation de son point focal au Maroc, le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et à la Lutte Contre la Désertification, une mission consultative au SIBE Ramsar de l’Embouchure de la Moulouya le 14 et 15 octobre 2010 pour s’enquérir de l’état actuel du site et discuter avec les différents intervenants, des mesures éventuels à prendre pour améliorer sa gestion conservatoire.

Malheureusement, les associations de protection de l’Environnement n’ont pas été invitées à assister à la réunion qui à lieu le 14 octobre à Oujda au siège de la Direction Régional des Eaux et Forêts et de la lutte contre la désertification de l’Oriental. Ces associations ont été privées d’exposer et de défendre leur point de vue, devant la délégation de la mission et les chefs de services présents, pour protéger et sauvegarder le site d’intérêt biologique et écologique de la Moulouya.

 

Il est regrettable que la direction régionale des eaux et forêts a voulu éclipser les associations et leur rôle dans la protection de notre patrimoine naturel alors que d’autre intervenant non étatique comme FADESA a été invité à assister à cette réunion.

Même au niveau du terrain,  la visite a été restreinte à trois associations seulement, pour diagnostiquer les dysfonctionnements et les problèmes qui menacent le devenir et le bon fonctionnement de ce SIBE Ramsar qui revêt une importance planétaire pour les écosystèmes des zones humides.

Plusieurs lieux ont été visités par la délégation de Ramsar en compagnie des ONG marocaines notamment le rivage du SIBE qui connaît une érosion active, le canal d’évacuation de crue et la station de traitement des eaux usées. Vu la contrainte de temps la station de pompage des eauxdu débit environnemental de la Moulouya réalisée par FADESA pour l’irrigation de ses trois terrains de Golf n’a pas pu être visitée par la délégation de Ramsar.

A l’occasion de la mission consultative Ramsar au SIBE de la Moulouya les représentants des ONGs marocaines qui ont participé à la visite du terrain, ont présenté quelques suggestions qui peuvent contribuer à la préservation de ce site et améliorer sa gestion :

 

1-      Alléger la pression des estivants sur le Sibe pendant l’été :

Les estivants qui ont été gênés dans leur accès libre à la plage au niveau de la NSTS qui a détourné l’ancienne rocade méditerranéenne à son profit, sont obligés de se diriger vers le SIBE de la Moulouya avec leurs véhicules qui dépassent la capacité d’accueil de ce rivage.

Nous suggérons fortement aux autorités concernées de revoir et de réétudier l’accessibilité à la plage depuis la ville de Saïdia jusqu’au rivage du SIBE. Pour débloquer l’accès à la plage au niveau de la NSTS, la restauration de l’ancienne rocade méditerranéenne est nécessaire pour alléger le rivage au niveau du SIBE.

De même au niveau des campings des administrations, la création de passage peut faciliter l’accès à la mer et décongestionner le SIBE de la Moulouya. D’autant plus que la construction nouvelle des cafés sur la dune bordière du domaine public maritime à rétréci l’espace disponible pour les estivants et devraient être purement et simplement détruites pour libérer l’espace et l’accès aux visiteurs

 

2-      Assurer la réalimentation sédimentaire du rivage du SIBE et de la plage.

L’érosion du rivage au niveau du SIBE de la Moulouya et de la plage au niveau de la ville est un phénomène manifeste et qui s’aggrave de jour en jour et menace de les faire disparaître dans un avenir proche.

En plus des sédiments qui ont été piégés au niveau des barrages, l’exploitation illégale du sable au niveau de la Moulouya aggrave encore plus ce phénomène. Il est fortement recommandé d’interdire toute extraction du sable de la Moulouya ou de la plage.

Les digues de la Marina de plaisance au niveau de la NSTS représentent un véritable obstacle au mouvement des sédiments. Le peu de sable qui parvient encore à atteindre la mer est empêché de réapprovisionner la plage et vient engraisser le flanc Ouest de la nouvelle digue. Une technologie doit être adaptée pour permettre aux sédiments de circuler librement et réapprovisionner la plage.

 

3-      Conserver le débit environnemental de la Moulouya.

Pour permettre à la Moulouya de jouer pleinement son rôle conservatoire et sa fonctionnalité vis-à-vis de la biodiversité aquatique et le maintient des différents écosystèmes il est fortement suggérer d’empêcher tout prélèvement d’eau supplémentaire.

Les eaux provenant du bassin versant de la Moulouya qui dépasse 58.500 Km2 sont complètement captées et contrôlées par un système de barrages édifiés le long de l’oued ou ses affluents. Actuellement la zone humide n’est desservie que par le bassin versant immédiat cerné par les montagnes des Béni Snasen, Béni Bouyahyou et de Kebdana.

Après les barrages de Mohamed V et Machrâa Hamadi la station de pompage de Moulay Ali Chrif prélève un volume de 20 Mm3/an comme appoint pour les besoins agricoles.

Si aucune restriction n’est opérée sur ces prélèvements d’eau, la Moulouya qui présente encore actuellement un aspect fluviatile qui longe cette splendide Tamariçaie se trouverait à sec et envahit par les eaux salées de la mer qui viendront perturber un équilibre ancestrale qui a permis aux différents écosystèmes estuarien de survivre à travers les siècles.

Nous recommandons de surseoir à tout prélèvement supplémentaire pour l’arrosage des terrains de golf ou des espaces verts de la NSTS. Nous rappelons à cette occasion qu’il était prévu par FADESA de réutiliser les eaux usées épurées pour l’irrigation de ses golfs et de ses espaces verts.

 

4-      Revoir le choix de l’emplacement de la station de traitement des eaux usées et son exutoire.

Les espèces faunistiques et floristiques, les mammifères, les oiseaux, les poissons, les vertébrés les invertébrés, les reptiles, les herpétofaunes, toutes ces espèces qui ont été répertoriées par d’imminents universitaires et experts, ont besoin de ce SIBE. Cette zone humide est source de vie et ne peut être transformée en zone de rejet des eaux usées et polluées. Elle ne peut être transformée en dépotoir. Nous n’avons pas le droit de massacrer encore plus ce SIBE.

Nous recommandons vivement aux autorités concernées de revoir l’emplacement et la technologie qui a été adoptés pour l’établissement de la station de traitement des eaux domestiques usées  et polluées et de procéder au changement de son exutoire vers d’autre direction différente du site biologique de la Moulouya.

Dans le contexte de la ville de Saïdia il existe d’autres possibilités pour choisir l’exutoire des eaux usées épurées :

-      Oued Kiss (déjà très pollué par les rejets d’eau usée non traitée en provenance de l’Algérie)

-   Les espaces verts et les Golf de la NSTS

- Le canal d’irrigation existant ou les terrains agricoles bordant les sites en mettant en place un plan de réutilisation des eaux usées épurées dans la zone agricole avoisinante.

Il est évident que nous soutenons cette dernière proposition qui représente à notre avis un avantage sur le plan technique et environnemental et surtout sur l’aspect d’économie de l’eau.

 

5- Assurer l’écoulement d’eau qui provient de Aïn Zebda et des sources avoisinantes qui alimente le bras mort de la Moulouya.

La construction de deux bâtards d’eau au niveau de l’intersection du canal de protection contre les inondations avec le filant d’eau provenant de la source de Aïn Zebda s’avère nécessaire pour le maintien des fonctionnalités du bras mort de la Moulouya et de la zone humide des chrarba.

 

6- Affectation des éco-gardes pour assurer la surveillance du SIBE et pénaliser les infractions constatées.

 

Il est souhaitable que ces éco-gardes soient recrutés parmi la population riveraine au SIBE.

Mohammed Benata 

Président de l’Espace de Solidarité et de Coopération de l’Oriental.

Source: oujdanews.

Publié le 17/10/2010 13:39  - aucun commentaire - |     |
Le lâcher d’une ourse confirmé en 2011 !  -  par Staff
Le lâcher d'une ourse confirmé en 2011 !


FERUS lacher ourse 2011 pyrenees

Photo Roland Clerc

C’est LA bonne nouvelle du week-end !!! On vient tout juste d’apprendre qu’un discours écrit par Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’Ecologie, a été lu au colloque francophone de mammalogie de la SFEPM qui se tient à Voiron (Isère) actuellement dans lequel elle confirme le lâcher d’une ourse en 2011 !






 


 
Source: Ferus.

 
Publié le 16/10/2010 17:53  - aucun commentaire - |     |
Démonstration d'oiseaux de proie en Forêt de Soignes  -  par Staff

 Démonstration d'oiseaux de proie
en Forêt de Soignes


Nous venons d'apprendre par nos amis de l'association Vogelbescherming Vlaaderen, que des

démonstrations d'oiseaux de proie seront organisées dans les trois parties de la Forêt de soignes.

Nous attirons votre  attention, en effet ces  pratiques sont  interdites sur le territoire de la  Région Bruxelles

capitale.

Nous avons écrits  à Madame Joke Schauvliege,Vlaams minister van leefmilieu, Natuur en Cultuur contre la

pratique de ces démonstrations qui contribuent  aux trafics de ces oiseaux.

Il est urgent d'interdire ces pratiques dans les trois Régions afin d'empêcher les abus.

Nous restons vigilants dans la suite de ce dossier.
Publié le 16/10/2010 14:47  - aucun commentaire - |     |
Justice: la mutilation de l’ours Balou sanctionnée  -  par Staff


 

communiqué de presse

vendredi 15 octobre 2010

Justice: la mutilation de l’ours Balou sanctionnée


Lundi 11 octobre 2010, à la demande de France Nature Environnement (FNE) et du Comité Ecologique Ariégeois (CEA), la cour d’appel de Toulouse a reconnu un chasseur ariégeois responsable de la mutilation de l’ours Balou lors d’une battue aux sangliers. Réactions.

La blessure de l’ours condamnée par la justice

Le 7 septembre 2008, dans le secteur de PRADES (09), les gendarmes étaient avisés qu’un chasseur avait tiré sur un ours en le confondant avec un sanglier. Un vétérinaire avait trouvé un morceau de tendon et un morceau d’os de l’animal sur les lieux.

Face à ce manque de dicernement, les associations avaient saisi le tribunal correctionnel de Toulouse qui a relaxé M. B. le 1er septembre 2009 au motif que la mutilation visée par le texte répressif était « une atteinte volontaire à l’intégrité entraînant la perte d’un membre ou d’un organe », et qu’il ne pouvait être reproché à M. B. d’avoir mutilé l’animal qui n’avait pas souffert de « séquelles définitives et irrévocables ».

La cour d’Appel de Toulouse vient d’infirmer ce jugement en considérant que ce « chasseur expérimenté a manqué de vigilance au cours de cette battue » et que la simple blessure d’un animal sauvage constitue une mutilation au sens des dispositions du code de l’environnement. Dès lors, nul besoin de constater des séquelles sur l’animal ni même l’intention malveillante du prévenu pour que l’atteinte à la conservation de l’espèce soit reconnue par le juge.

Pour Raymond Léost, responsable du réseau Juridique de FNE, « il était très important pour nos associations que la justice reconnaisse la responsabilité du chasseur ayant blessé cet ours lors d’une battue. Il est en effet impératif que tout chasseur identifie clairement l’espèce avant de procéder à un tir et l’atteinte portée à une espèce sauvage telle que l’ours ne peut se résumer à sa mort ou à une invalidité

La nécessité de créer des zones «sans battues» pour protéger les ours.

Depuis des années, les associations de protection exigent de l’Etat français la mise en place de mesures de protection effective de l’ours, notamment par la création de zones sans battues.

Malheureusement, ni la mort de Cannelle récemment sanctionnée par la plus haute juridiction, ni la blessure de l’ours Balou n’ont à ce jour décidé l’Etat français à réglementer la pratique de la chasse dans les secteurs vitaux pour l’ours. Face à ce laxisme qui aboutit inexorablement à la destruction des derniers spécimens présents sur notre territoire, FNE et ses associations membres des Pyrénées se sont associées ont, avec d’autres structures, déposé devant la commission européenne une plainte contre la France pour non-respect des engagements communautaires en la matière.


Source: France Nature Environnement.

Publié le 15/10/2010 13:58  - aucun commentaire - |     |
        

 

COMMUNIQUE DE PRESSE-MERCREDI 13 OCTOBRE 2010

A56 FOS-MIRAMAS-SALON, UNE AUTOROUTE A CONTRESENS !

Dans le cadre du Schéma National des Infrastructures de Transport (SNIT), plusieurs nouveaux projets d’infrastructures sont prévus dans la région Provence Alpes Côtes d’Azur (PACA), notamment la création d’une autoroute A56 reliant Fos-sur-Mer et le Grand Port Maritime de Marseille (GPMM) à Salon de Provence. France Nature Environnement, l’URVN, sa fédération régionale, l’UDVN 13 et la CFDT PACA s’opposent à ce projet qui empêche le développement des alternatives à la route.

FNE, l’URVN, l’UDVN 13 et la CFDT PACA déplorent qu’aucune alternative à la route ne soit proposée alors que la forte pollution atmosphérique engendrée par le trafic routier dans cette zone ainsi que la congestion de l’ensemble des axes nécessitent d’urgence de trouver d’autres solutions ! Ce projet ne favorise pas le report modal (changement d’un mode de déplacement vers un autre), ne rompt pas avec la logique du « tout routier » développée jusqu’alors et éloigne de l’objectif vital de désenclaver la région sans subir de nouvelles nuisances.

Le tracé de cette autoroute impacterait la réserve naturelle du Coussoul de la Crau, classée zone Natura 2000 « écosystème totalement unique qui a mis des milliers d'années à se constituer » selon Mme Jouanno, la secrétaire d’Etat à l’Ecologie*, évènement qualifié de « vrai désastre écologique sur un site qui abrite des espèces rares » par cette dernière. Cet évènement n’aurait-il donc pas servi de leçon ? Aurait-on déjà oublié ?

Ce projet n’est pas cohérent avec le développement du trafic de conteneurs du GPMM qui vise une massification des flux de marchandises. Le routier ne pourra pas absorber un tel trafic et les débouchés doivent prioritairement être ferroviaires et fluviales !

Par le Grenelle de l’environnement, l’Etat s’est engagé à «accompagner le développement des capacités portuaires et créera les conditions d'une desserte terrestre efficace des grands ports maritimes français par les modes de transport massifiés, ferroviaire et fluvial». Le GPMM s’est également engagé, dans son projet stratégique, à diminuer la part de la route dans le transport des marchandises (60% en 2013 contre 81.6% en 2007) et d’augmenter la part du ferroviaire (30% en 2013 contre 13.70% en 2007). Il est maintenant temps d’agir et d’être cohérent avec les engagements pris !

FNE, l’URVN, l’UDVN 13 et la CFDT PACA demandent avec insistance :

- l’abandon de ce projet d’autoroute à la fois contraire aux engagements du Grenelle et inacceptable du point de vue environnemental ;

- une amélioration des raccordements ferroviaires de la zone portuaire de FOS au réseau national ;

- le maintien de l’activité ferroviaire de la plateforme de Miramas et son développement avec de nouveaux services comme l’autoroute ferroviaire et des liaisons de trafic combinés interrégionales et européennes.

*discours prononcé lors de son déplacement sur le site après la rupture d’un pipeline qui avait souillé la zone de pétrole en août 2009

Télécharger ce communiqué en format PDF.

 

Source: France Nature Environnement .
Publié le 13/10/2010 16:58  - aucun commentaire - |     |
Sauvons le Jardin Extraordinaire  -  par Staff
 pic16.jpg
 


Nous lançons un appel aux amis du Jardin Extraordinaire.

En effet, nous avons été privé de cette émission de qualité durant plusieurs semaines.

Nous demandons à Monsieur Jean-Paul Philippot, Administrateur général de la RTBF les raisons pour lesquelles cette émission a été

remplacé le dimanche Soir, par d'autres émissions.

Nous lançons à un appel au public afin qu'il soutienne cette émission.

Nous vous remercions d'avance.
 
Publié le 12/10/2010 16:13  - 8 commentaires - |     |
Décisions du Conseil national Helvétique concernant le loup  -  par Staff





Décisions du Conseil national concernant le loup:
Le Parlement démantèle la protection du loup


logopronatura-300x120.jpg


Le Conseil national a pris aujourd’hui trois décisions inquiétantes à l’encontre de la biodiversité. Sa protection est dangereusement mise à mal en Suisse. Pour Pro Natura, la Suisse joue avec le feu.
 
L’affaiblissement du statut de protection du loup dans la Convention de Berne est une décision lourde de conséquences. « Parce qu’elle ne parvient pas à gérer la présence d’une douzaine de loups sur son territoire, la Suisse doit renoncer à une convention préservant la vie sauvage de toute l’Europe. Le pays ébranle ainsi la protection de milliers d’autres espèces », s’insurge Mirjam Ballmer, cheffe de projet en politique de protection de la nature chez Pro Natura.

La seconde décision du Conseil national, répondant à une motion de sa commission de l’environnement, est tout aussi catastrophique. Il est dans l’ordre naturel que des animaux sauvages dévorent parfois d’autres animaux sauvages. Or, le Conseil national intervient maintenant dans cet équilibre : les animaux sauvages protégés, tel le lynx, doivent pouvoir être abattus s’ils dévorent trop de chevreuils ou de chamois. « Le Parlement est bien présomptueux en s’arrogeant le droit de modifier comme bon lui semble la chaîne alimentaire naturelle », critique Mirjam Ballmer.

De plus, en rejetant les motions demandant des améliorations dans la protection des troupeaux (Moser, Teuscher, Thorens), le Parlement rend un bien mauvais service aux éleveurs de moutons : en leur refusant davantage de moyens pour protéger leurs troupeaux, il accepte implicitement que ces éleveurs continuent de perdre de trop nombreuses bêtes, victimes non seulement du loup, mais aussi et surtout – par milliers – d’éboulements, de maladies et d’accidents.

Ces décisions ne sont pas dangereuses que pour le loup et le lynx, mais pour la biodiversité dans son ensemble », souligne Mirjam Ballmer. 

Pour tous compléments d’information:

Nicolas Wüthrich, responsable de l’information
tél. 079 212 52 54
nicolas.wuthrich@pronatura.ch
Publié le 01/10/2010 10:08  - aucun commentaire - |     |
Reportage: Le Plateau Avijl  -  par Staff

pic16.jpg




le plateau d'Avijl

Le plateau Avijl, "une forteresse verte"

 
A Uccle, un petit trésor à préserver : le plateau d'Avijl, un véritable coin de campagne en ville. 

Ce site champêtre ouvert au public, abrite une grande diversité de flore et faune autour de ses prairies, jardins potagers, sentiers et espaces sauvages. 

Benoit Malice, membre de l'Association "Protection et avenir d'Avîjl" nous fait découvrir les merveilles de cette forteresse verte.
Un reportage d'Isabelle Masson & Eric Tamundele. 






 
  •  
  •  
  • Diffusion:

    Le dimanche 3 Octobre  2010,  20h10 sur la Une.


  •  
  •  
  • Producteur: Claudine Brasseur
  • Conseiller Scientifique: Thierry Hance
  • Réalisateur: Cyril Travassac
  •  
  •  
  • Source: Le Jardin Extraordinaire.
  •  
 
Publié le 30/09/2010 13:22  - aucun commentaire - |     |
Samen leven met de vos ?  -  par Staff


 

Samenleven? Vivre ensemble? Yes, we can!
Oui, nous le pouvons!

"Le ministre flamand de l'Environnement, Nature et Culture Joke Schauvliege travaille actuellement sur un changement de réglementation de la chasse, en particulier le décret du Gouvernement flamand du 30 mai 2008 fixant les conditions dans lesquelles la chasse peut être exercé(que l'on appelle les conditions de chasse décision).
En elle-même n'est pas fracassant nouvelles, si ce n'était qu'elle veut apporter des changements à huis clos.
La poursuite de la communication ouverte et l'audition de toutes les parties dans ce cas, il ne semble pas utile.
En effet, le ministre a imposé ses services d'information d'arrêt qui en fait un acteur important dans le débat - le mouvement de conservation - dans l'espoir de mettre des jeux.
Son objectif est de chasser dans les règlements actuels prévoient des mesures supplémentaires pour contrôler la population de renards et de répondre de manière efficace. "

Nos amis de Vogelbescherming Vaanderen ont décidé de lancer une pétition afin de protéger le renard.

Une carte pétition à été envoyée à Madame  Joke Schauvliege, Ministre de la Région Flamande pour l'Environnement.










Source:vanparsifal et Vogelbescherming  Vlaanderen.


Publié le 30/09/2010 11:10  - aucun commentaire - |     |
Animations Nature dans les écoles  -  par Staff
 Animations Nature dans les écoles

 
Nous organisons des animations dans les établissements scolaires primaires de la région Bruxelles / Capitale et du Brabant wallon.

Celles - ci sont  gratuites.
 
Nous proposons plusieurs thèmes afin de sensibiliser les élèves au respect de la faune et de la flore sauvages.





Thèmes:

- Aux Arbres Citoyens.
- Campagne SOS Oiseaux en Hiver.
- Les chauves - souris.
- Création d'une mare.
- Chemins: "j'aime la Nature sur les Bords".
- Les Insectes.
- Les Papillons.
- Refuge à Insectes.
- Les Oiseaux de proie nocturnes.

Des documents seront  distribués  gratuitement lors de ces animations.
Celles - ci seront organisées soit en matinée ou une journée complète.


Attention, seulement les établissements scolaires qui demandent une animation recevront les documents gratuitement, sinon les documents seront à la charge de l'établissement scolaire.



 

 

 



 


 

Un petit cadeau  pour les écoles  qui ont participé à une animation

    product_photo.pngimages.jpeg


Publié le 25/09/2010 10:36  - aucun commentaire - |     |